Vers une rencontre entre Zelensky et Poutine : Trump et Macron au cœur des manœuvres diplomatiques

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La perspective d’une rencontre historique entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine se précise. Selon le chancelier allemand Friedrich Merz, le président russe aurait fait savoir à Donald Trump qu’il était prêt à rencontrer son homologue ukrainien « d’ici deux semaines », alors que les efforts diplomatiques se multiplient pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine.

Une intense activité diplomatique à Washington

Lundi, Volodymyr Zelensky était reçu à la Maison Blanche par Donald Trump, entouré de plusieurs dirigeants européens, dont Emmanuel Macron et Alexander Stubb, président finlandais. La réunion, jugée « cruciale » par l’ensemble des participants, a porté sur les garanties de sécurité pour l’Ukraine et la perspective d’un cessez-le-feu. Trump a confirmé avoir déjà « commencé les préparatifs » d’une rencontre Poutine-Zelensky.

L’ancien président américain, désormais revenu sur le devant de la scène internationale, a affirmé qu’« un accord » était possible et a promis l’implication des États-Unis aux côtés des Européens pour la sécurité future de Kiev.

Macron prône une « réunion quadrilatérale »

Emmanuel Macron a plaidé pour un format élargi, associant Poutine, Trump, Zelensky et les Européens. « La sécurité de l’Europe est aussi en jeu. Nous souhaitons un cessez-le-feu et une paix juste et durable », a insisté le président français, tout en appelant à renforcer les sanctions contre Moscou en cas d’échec des discussions. Il a toutefois précisé que la question des concessions territoriales n’avait pas été abordée.

Soutiens européens et doutes persistants

Le président ukrainien s’est félicité du « soutien puissant » des Européens et a salué « la meilleure discussion » qu’il ait eue avec Donald Trump. Mais les divergences persistent. Alors que le chancelier allemand Friedrich Merz insiste sur un cessez-le-feu préalable, Trump estime qu’il n’est « pas nécessaire » pour engager un dialogue. De son côté, le président finlandais Alexander Stubb a mis en garde contre la fiabilité de Vladimir Poutine, qu’il juge « indigne de confiance ».

Entre espoirs et incertitudes

Zelensky a confirmé être « prêt » à rencontrer Poutine, estimant que cette rencontre « pourrait et devrait avoir lieu ». Poutine, de son côté, a confié à Trump vouloir « conclure un accord », selon des propos rapportés par CNN. Toutefois, la question hautement sensible des territoires annexés par la Russie reste en suspens et pourrait faire dérailler les négociations.

En toile de fond, Ursula von der Leyen a rappelé l’urgence humanitaire, appelant au retour des enfants ukrainiens déportés par la Russie.

Une fenêtre étroite pour la paix

« Cette journée marquera le conflit », a conclu Emmanuel Macron, voyant dans ces tractations une étape clé. Mais si la diplomatie reprend vigueur, la méfiance demeure. Entre la volonté affichée de paix et la réalité des exigences russes, les prochains jours diront si cette ouverture débouche sur un véritable accord ou s’il ne s’agit que d’un nouvel épisode d’attente et de pressions.

 

 

3 Commentaires

  1. « #Macron complètement fou : « La guerre, c’est l’objectif ! » (cf vidéo ⤵️)
    « Dans une nouvelle interview sur TF1 et LCI, Macron détaille son projet d’envoi de troupes françaises en #Ukraine : « la force de réassurance », comme il l’appelle.
    « Les Britanniques, les Français, les Allemands, les Turcs,…sont prêts à mener des opérations sur terre, dans l’air, en mer »
    Journaliste : « Si provocation russe, ces soldats seront forcés de se battre ?! »
    Macron : « C’est l’objectif de ces garanties de sécurité ! »
    ➡️ Il veut la guerre !
    Dehors vite ! La paix vite ! »
    son objectif , c’est d’inclure les soldats français déja morts dans lss opérations secrète en Ukraine sans l’accord de l’assemblée nationale ou de la population.
    cf courrier des généreaux

  2. une réaction coordonnée a secoué Bruxelles, Paris, Berlin et Londres : les élites européennes ont exigé que Zelensky soit le seul autorisé à négocier les territoires.
    Mais là se cache le mensonge central.
    ⚖️ Le problème de légitimité de Zelensky
    Les élections présidentielles d’avril 2024 en Ukraine ont été annulées par Zelensky lui-même, sous prétexte de guerre.
    Si un accord de paix est signé, l’état d’urgence prend fin → Zelensky n’est plus président légitime.
    Juridiquement, ce serait donc au prochain président élu de négocier les territoires.
    Et ça, les mondialistes européens le savent parfaitement. Mais ils s’accrochent à Zelensky parce qu’il est leur pion docile.
    Pourquoi une paix réelle fait trembler les élites
    Un accord de paix sonnerait la fin d’un immense système de prédation :
    Macron & von der Leyen verraient leur rhétorique « résistante » s’effondrer.
    Starmer et Merz, tout juste élu, apparaîtraient sans stratégie.
    Marc Rutte à l’OTAN passerait de « chef de guerre » à bureaucrate inutile.
    La guerre permet aujourd’hui :
    Des rétro-commissions massives sur les armes et l’énergie.
    Une peur permanente pour pousser l’Europe vers une fédération totalitaire.
    Une justification pour saigner les peuples européens par l’impôt et l’inflation.
    La paix, c’est l’effondrement de leur pompe à fric.
    La panique des élites mondialistes
    Les réactions hystériques des dirigeants européens montrent une panique totale.
    Ils ne veulent pas la paix.
    ➡️ Ils veulent un cessez-le-feu, un simulacre qui leur permet de continuer la guerre par d’autres moyens.
    Comme dans 1984 d’Orwell : la guerre doit être permanente pour justifier le contrôle et la répression.
    Et si la guerre continue sans les Américains ?
    Trump a été clair :
    Les États-Unis n’assureront que la logistique.
    Les Européens devront payer eux-mêmes et acheter… des armes américaines.
    Résultat :
    Facture astronomique pour les peuples européens.
    Impôts, austérité et dettes pour financer une guerre qu’ils n’ont pas voulue.
    Racket géopolitique assumé : Washington vend les armes, l’Europe paye la note.
    ️ Et si la paix devient réalité ?
    L’Ukraine sortira en ruines :
    Économie effondrée.
    Infrastructures détruites.
    Dépendance totale à l’aide extérieure.
    Qui paiera ?
    Les contribuables européens via Bruxelles.
    Les contribuables américains via le FMI et la Banque mondiale.
    Qui profitera ?
    Les grands fonds financiers comme BlackRock, déjà positionnés pour rafler la reconstruction.
    Les multinationales américaines qui transformeront l’Ukraine en marché captif.
    Conclusion
    La manœuvre est claire :
    Trump avance sa stratégie avec ruse : d’abord un tête-à-tête avec Zelensky à 13h00, puis seulement à 15h00 une réunion avec les Européens.
    Poutine a mis les choses au clair : « Pas de négociation des territoires avec Zelensky, car il n’est plus légitime en cas de paix. »
    Les mondialistes européens, eux, ne veulent pas la paix. Ils veulent la guerre éternelle, car c’est leur fonds de commerce, leur machine à détruire les peuples et à renforcer leur pouvoir sous le drapeau de l’UE fédérale.
    La vérité est là : la paix mettrait fin à leur racket. Voilà pourquoi ils la sabotent.

  3. La panique des élites mondialistes
    Les réactions hystériques des dirigeants européens montrent une panique totale.
    Ils ne veulent pas la paix.
    ➡️ Ils veulent un cessez-le-feu, un simulacre qui leur permet de continuer la guerre par d’autres moyens.
    Comme dans 1984 d’Orwell : la guerre doit être permanente pour justifier le contrôle et la répression.
    Et si la guerre continue sans les Américains ?
    Trump a été clair :
    Les États-Unis n’assureront que la logistique.
    Les Européens devront payer eux-mêmes et acheter… des armes américaines.
    Résultat :
    Facture astronomique pour les peuples européens.
    Impôts, austérité et dettes pour financer une guerre qu’ils n’ont pas voulue.
    Racket géopolitique assumé : Washington vend les armes, l’Europe paye la note.
    ️ Et si la paix devient réalité ?
    L’Ukraine sortira en ruines :
    Économie effondrée.
    Infrastructures détruites.
    Dépendance totale à l’aide extérieure.
    Qui paiera ?
    Les contribuables européens via Bruxelles.
    Les contribuables américains via le FMI et la Banque mondiale.
    Qui profitera ?
    Les grands fonds financiers comme BlackRock, déjà positionnés pour rafler la reconstruction.
    Les multinationales américaines qui transformeront l’Ukraine en marché captif.
    Conclusion
    La manœuvre est claire :
    Trump avance sa stratégie avec ruse : d’abord un tête-à-tête avec Zelensky à 13h00, puis seulement à 15h00 une réunion avec les Européens.
    Poutine a mis les choses au clair : « Pas de négociation des territoires avec Zelensky, car il n’est plus légitime en cas de paix. »
    Les mondialistes européens, eux, ne veulent pas la paix. Ils veulent la guerre éternelle, car c’est leur fonds de commerce, leur machine à détruire les peuples et à renforcer leur pouvoir sous le drapeau de l’UE fédérale.
    La vérité est là : la paix mettrait fin à leur racket. Voilà pourquoi ils la sabotent.

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