À l’occasion du colloque organisé par l’Union Sociale pour l’Habitat en Outremer (USHOM), ce lundi 17 novembre au Sénat, la maire de Saint-Denis et ancienne ministre des Outre-mer, Ericka Bareigts, a rappelé l’urgence d’adapter les politiques du logement aux réalités climatiques et sociales propres aux territoires ultramarins.
Alors que les cyclones se multiplient et que les épisodes climatiques extrêmes deviennent récurrents, le logement ultramarin n’est plus un simple enjeu d’aménagement : il est désormais une question de sécurité, de santé publique et de survie climatique pour des milliers de familles.
Les Outre-mer sont aujourd’hui en première ligne face aux catastrophes climatiques, à la pression foncière et aux fragilités du parc de logements. Élue de terrain et ancienne ministre des Outre-mer, la maire de Saint-Denis, Ericka Bareigts, a rappelé que protéger les habitants face au mal-logement et aux risques naturels exige du courage politique. Un courage que les mairesdoivent porter chaque jour sur le terrain. Elle a également souligné le rôle déterminant de ces derniers dans les dispositifs de relogement d’urgence, de préventions des périls ou de lutte contre l’habitat indigne.
Première grande ville ultramarine, Saint-Denis dispose de plus de 24 000 logements sociaux, ce qui en fait le plus grand parc locatif social de La Réunion. Avec un taux SRU de 38%, quand la loi impose 25%, le chef-lieu dionysien fait partie des 8 seules communes réunionnaises à respecter ce seuil. La maire de Saint-Denis a rappelé que la solidarité ne peut reposer sur la volonté de quelques-uns et appelle à un renforcement du cadre législatif pour garantir son application pour tous.
S’appuyant sur l’expérience de Saint-Denis, Ericka Bareigts prône une approche globale pour des logements adaptés au climat tropical, une
meilleure résilience face aux cyclones et un accompagnement des habitants tout au long de leur parcours résidentiel.
La maire a notamment rappelé que ces défis nécessitent une action nationale cohérente et construite à partir des réalités propres à chaque territoire ultramarin.
Au-delà des réponses d’urgence, Ericka Bareigts a appelé à bâtir une politique du logement dans les Outre-mer capable d’anticiper les crises, de renforcer la sécurité des familles et de garantir une véritable équité territoriale.



IL Y A TOUTE UNE MAGOUILLE,CONCERNANT LES ATTRIBUTIONS DE LOGEMENTS A LA REUNION???IL FAUT DEJA DEMANDER A LA PREFECTURE DES COMPTES ET ENSUITE AUX MAIRES ET BAILLEURS SOCIOS????ET Là NOUS VAS VOIR POURQUOI( LE MAHORAIS ,LE MALGACHE,LE Z’OREYL,COMMORRIENS, ET AUTRES)Lé PRIORITAIRE???????ET PAS NOUS REUNNIONAIS QUI ATTEND DEPUIS PLUS DE 10 ANS???
Impossible d’avoir un logement social à St Denis si on n’est pas mahorais. Malgache ou comoriens. Si c’est pour le centre ville il faut avoir un camarade zarab ou zoreil, sinon marchez à pattes. Elle n’a vraiment aucune leçon à donner à qui que ce soit en matière de logement social.
trop de personnes sont arrivées sur l’île , de Madagascar , Mayotte etc , c’est normal qu’il n’y à plus de logements pour les réunionnais, comment des étrangers arrivent à s’installer sur l’île ? quel réseau ont-ils pour avoir des logements ? cela devient grave …le préfet devrait faire un bilan du nombre d’arrivée d’étrangers sur l’île ces dernières années et on verra d’où est le problème de logement, pourquoi beaucoup de personnes vivent dans les rues à la réunion.
Le préfet compte sur la deal. Or avez vous lu la nullité du rapport publié par le service prospective de la deal au sujet du logement social sur l’île ? On dirait un exposé de lycéen.
st deni les devenue comme Madagascar
ou la peur si i viré août en2026
Madame la Maire de St Denis, département 974 , je crois que vous étiez Ministre, cela ne fait pas longtemps, aviez vous eu une vision de ce que serait la Réunion de drm6, c’est vrai que ces 5 dernières années, il y a eu un débordement venu du département de Mayotte, mais j’ aimerais connaître, si en coulisses vous aviez fait part de vis inquiétudes, où qu’ ouvrir la porte en grand à avoir des voix , obtenir que des voix électoraliste. C’ est çà que je n’ arrive pas à comprendre. comment aujourd’hui, vous travaillez. Le monde ne réfléchit plus.