Témoignage bouleversant : elle perd son père suite à un diagnostic tardif de la leptospirose

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Le 8 mai 2024 restera gravé dans la mémoire de cette famille, marquée par la perte tragique d’un être cher, un père, un mari, emporté par une maladie sournoise, la leptospirose. Ce témoignage bouleversant révèle les conséquences dévastatrices d’un diagnostic tardif, mettant en lumière les lacunes dans la prise en charge médicale.

Tout a commencé quelques jours plus tôt, lorsque le père, âgé de 62 ans, robuste agriculteur en pleine santé, a commencé à ressentir des symptômes inhabituels : fièvre, douleurs musculaires. Face à cette détérioration de son état, son entourage s’inquiète et le persuade de consulter un médecin, le samedi 27 avril.

C’est là que le drame commence à se nouer. Malgré la consultation, le médecin remplaçant lui prescrit simplement un bain de bouche et du paracétamol, ainsi qu’un test de glycémie. Une ordonnance qui s’avérera être une fausse piste, laissant la véritable cause de son mal inexploré.

Les jours passent, et l’état de santé du père ne cesse de se dégrader. Incapable de se lever du lit, il est finalement conduit aux urgences après que les premiers résultats sanguins révèlent des dommages sévères au foie et aux reins. Le diagnostic de leptospirose est confirmé, mais c’est déjà une course contre la montre.

Transporté en urgence à l’hôpital, il est admis en réanimation dans un état critique. Les jours suivants sont un véritable combat pour sa survie, avec des améliorations temporaires mais aussi des complications redoutables. Finalement, le pronostic devient fatal lorsque des symptômes pulmonaires graves se manifestent.

La famille est brusquement confrontée à l’impensable : l’agonie de leur bien-aimé, les préparatifs pour ce qui semble être inévitable. À 6h53, le 8 mai 2024, le père s’éteint, emporté par la maladie.

Ce récit poignant soulève des questions cruciales sur les pratiques médicales. La confiance accordée à un médecin n’a pas été récompensée par une évaluation adéquate de la situation. Des analyses sanguines précoces auraient pu changer le cours des événements, mais malheureusement, cette possibilité a été négligée.

« Nous sommes aujourd’hui bien sûr anéantis mais aussi en colère.” témoigne la fille du défunt.

Puissent les leçons tirées de cette tragédie conduire à des changements significatifs dans les pratiques médicales, préservant ainsi d’autres familles de la souffrance et de la perte.

8 Commentaires

    • C t pas aux urgences mais un generaliste remplaçant… c sur avec les reformes a l ecole qu on subit cela donnera encore plus des degatsbds ts les corps de metiers
      Justrmeny c aux urgences que le bon diagnostic est pose

  1. Bravo les érudits médecins ! Je ferai de même si votre véhicule entre dans mon garage ! Faux diag ,incompétent pour déceler la panne , véhicule immobilisé ! Vous serez servis ! Et je m’amuse aussi !!!!!

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