Depuis ce matin, une rumeur circule sur les réseaux sociaux au sujet d’un événement survenu à l’école Sainte-Marguerite de Saint-Benoit. Plusieurs témoignages font état de soupçons d’attouchements visant de très jeunes enfants, supposément commis par un agent polyvalent intervenant dans l’établissement.
Des témoignages inquiétants rapportés par plusieurs parents
Selon plusieurs échanges publiés sur Facebook, des parents auraient été alertés directement par leurs enfants. Ces derniers, âgés de la petite section, auraient confié qu’« un monsieur de l’établissement leur aurait touché les parties intimes » en leur demandant de « garder le secret et de ne rien dire aux parents ».
Un commentaire largement relayé affirme que les parents, en colère, se seraient rendus à l’école pour tenter d’obtenir des explications. Certains auraient immédiatement récupéré leurs enfants par crainte d’un danger potentiel.
Réunion à l’école et mise à pied de l’agent selon des témoignages
D’après les informations partagées par une internaute, une réunion aurait eu lieu au sein de l’école ce matin. La directrice aurait expliqué qu’aucun communiqué officiel ne serait publié pour le moment, les procédures internes étant en cours.
L’homme mis en cause serait un agent polyvalent employé par l’établissement. Toujours d’après ces témoignages, il aurait été mis à pied. La direction aurait ajouté que cet agent « n’était pas censé avoir de contact direct avec les enfants ».
Des plaintes déposées et un suivi psychologique pour certains enfants
Face à l’absence de communication officielle, des parents auraient décidé de faire fuiter l’information sur les réseaux sociaux pour alerter les autres familles. Plusieurs d’entre eux auraient déposé plainte auprès de la gendarmerie, ce qui pourrait mener à l’ouverture d’une enquête. Certains enfants auraient également été orientés vers un suivi psychologique.
Toujours selon les témoignages, les accusations concerneraient à la fois des petites filles et de très jeunes garçons.
Des éléments encore non confirmés officiellement
Pour l’heure, aucune autorité officielle n’a communiqué sur la situation. Les informations diffusées proviennent exclusivement de parents, d’internautes et de témoins indirects.
Dans un contexte aussi sensible, la prudence reste indispensable. Les faits rapportés n’ont pas encore été confirmés, mais l’émotion et la colère des familles témoignent de l’impact de cette affaire.
bonjour
je crois c’est trop facile de dire que l’homme à toucher les enfants est-ce que c’est sur !!!! avant de juger attends l’enquête d’abord maintenant tout le monde travail dans une école faite très attention à vous !!!!! moi j’ai déjà entendu des choses pareilles sur une atsem c’était que des ladies la fait pour enfoncer cette personne
afole pas . nena une et enquête.ne jugeons pas . atend
Toute personne employée dans une école devrait obligatoirement présenter un casier judiciaire vierge !!! est-ce que des vérifications sont faites ???? au delà de ça il faut être très vigilant surtout avec les petits !!!! les pervers peuvent avoir des visages d’ange !!! il ne faut pas se fier aux apparences …..
faut tjr ce méfier des hommes qui travaille dans les écoles
Pas toute. Ou connait que na métier homme sage ? Pas homo sapiens. Lol ! Peux pas mette un l’étiquette su toute front lo zom. Sinon dan quel monde nous sa va ? Fanm comme boug na lo vice. Faut laisse professionnel faire zot travail.
mon Dieu encore une fois les petits victimes
Sujet sensible quand y touche de très jeunes enfants. N’aurait pas dû avoir des fuites mais oussa ça ? Comme dit le dicton « la pas encore péter fine senti l’odère ». Na professionnels y gaigne fait exprime ti marmaille et lé difficile que zot y ramasse menteur. La suite nous le dira. Et lé vrai que na des enfants de 0 à 5 ans y subit des violences sexuelles. Domoun fine arrive pire le chien. Ou peux pas maginer un affaire coma. Zot cerveau fine arrive à l’envers na point pikire pou bande chose coma et ça là dans toute secteur confondu na point que des dépravés. Ou tomberait des nues si y arrive à savoir qui y cache derrière ces abominations. Sous nout nez la plupart du temps.