À l’occasion de la journée nationale du 10 mai, instituée par la loi Taubira pour commémorer l’abolition de l’esclavage, la ville de Sainte-Suzanne, en partenariat avec l’association Codem et les associations de la Maison du Patrimoine de Sainte-Suzanne, organise deux journées d’événements sous le signe de la paix, du vivre-ensemble et de l’unité réunionnaise. La cérémonie d’ouverture a eu lieu ce samedi en présence du Consul Général de Chine et de Frédéric Maillot, représentant la présidente de la Région, en tant que conseillé régional.
“C’est une journée importante parce qu’elle reconnaît l’esclavage comme un crime contre l’humanité”, explique Maurice Gironcel qui a lancé un message aux jeunesses en les incitant à “Ne pas oublier, savoir d’où on vient pour mieux appréhender l’avenir”.
Frédéric Maillot a expliqué à son tour qu’ « aujourd’hui encore, il faut continuer à travailler, il faut continuer à enseigner pour enlever tous les stigmates, les freins qui peuvent bloquer l’émancipation ».
Le consul général de Chine à Saint-Denis :
L’écrivain Prosper Eve
Dans un contexte où les valeurs de fraternité et de justice doivent sans cesse être ravivées, cette commémoration vise à rappeler les blessures du passé tout en appelant à construire collectivement un avenir fondé sur la mémoire et la solidarité.
Le Jardin du Patrimoine et de la Mémoire accueille une programmation variée mêlant hommages, expositions, ateliers et créations artistiques. Parmi les temps forts figurent les hommages solennels rendus aux esclaves, à Edmond Albius — à qui l’on doit la fécondation manuelle de la vanille — ainsi qu’aux combattants de la liberté. Plusieurs expositions artistiques abordent les thèmes de l’esclavage et du maloya, tandis que la grande exposition intitulée « La route de l’esclave et de l’engagé dans l’océan Indien » retrace les liens historiques entre La Réunion, Madagascar, l’Inde, le Mozambique, Maurice et la Chine.
Des ateliers pédagogiques viennent enrichir ces journées avec des présentations de plantes traditionnelles, d’objets lontan, de savoir-faire et de créations artistiques. Un jardin littéraire consacré à la transmission des mémoires complète ce dispositif. L’événement se clôturera par un plateau culturel mêlant musique, poésie et performances, dans une ambiance de recueillement et de partage. À travers cette initiative, Sainte-Suzanne affirme son engagement à faire vivre l’histoire et à nourrir la conscience collective autour des enjeux de mémoire.
Photos et vidéos : Karoline Chérie






C’est de la démagogie ni plus ni moins.
Au SIDELEC les Chefs d’entreprises étaient aussi Esclaves d’emmener des Kilos de poissons au contraire du maire du Port des kilos de mangues et letchis.
En attendant, vos enfants Monsieur GIRONCEL sont tous recrutés dans des Collectivités.
Peut-être les contribuables Esclaves prendront encore en charge votre prochain déplacement à Paris ce mois-ci pour votre procès.
Une bande de ripoux ces élus de merde ! Comment peut on mettre au pouvoir ces raptouts qui nous bouffent l’existence !
C’est coutume chez eux de passer a la barre juridique et ils en sortent avec mont et merveille ces ripoux !
Ôté chinois l’a vécue aussi l’abolition ! Chinois y observe ,curieux de son environnement , vénère a chaque bout de doigt pour saluer , parle peu mais savent agir au moment présent ! Bravo chin toc