À partir du 11 juillet, les champs de La Réunion s’animeront au rythme de la récolte de la canne à sucre. Le ballet des cachalots va donc reprendre ; il est recommandé de faire preuve de prudence. Cet événement annuel marque le début de la campagne sucrière, une période cruciale pour l’île et son économie.
« Cultivée depuis des siècles à La Réunion, la canne à sucre est indissociable de l’identité de l’île. Son importance économique est majeure, employant de nombreux travailleurs et contribuant significativement aux revenus locaux.
Si la majeure partie de la récolte se fait encore manuellement, les machines agricoles ont également leur place dans les champs réunionnais. Le sucre produit est ensuite destiné à la fois à la consommation locale et à l’exportation.
La campagne sucrière implique une série d’étapes bien définies. Après la coupe dans les champs, la canne est transportée vers les usines de transformation, comme celles de Bois-Rouge et du Gol. Là, elle est broyée et pressée pour en extraire le jus sucré, qui sera ensuite transformé en sucre et en d’autres produits dérivés.
L’ouverture de la campagne sucrière est un moment de fête pour La Réunion. Des événements festifs et des cérémonies symboliques sont organisés pour célébrer cette tradition et mettre en avant l’importance de cette culture pour l’île.
L’industrie sucrière réunionnaise n’est pas exempte de défis. La durabilité et l’efficacité de la production sont des enjeux majeurs auxquels les acteurs du secteur doivent s’attaquer. Innovations techniques et pratiques culturales responsables sont autant de pistes pour relever ces défis et assurer la pérennité de cette filière essentielle pour l’île », écrit le président de l’UPNA Dominique CLAIN ».
sa le jean,allez fais encule à ou quand ou na 1temps dont
Bande jaloux sa rouvre zot guelle la, tracteur su 4 voie et camion trop charger.
#pleur dessu
#mi lé agriculteur et moin nena gros loto