« Ils ont la calomnie et le mensonge pour seuls arguments », constate la maire sortante de la Possession qui, dans un communiqué, tient « à rétablir la vérité » face aux « rumeurs colportées » par certains candidates aux municipales de mars 2026. Voici son communiqué : « La course au fauteuil de maire de la Possession semble propice à certains de mes adversaires pour user et abuser de contre-vérités pour essayer de m’atteindre, pour me calomnier.
Les attaques portent principalement sur des actions pour lesquelles la collectivité a davantage joué son rôle de partenaire sans jamais en être à l’origine. Mais des projets qui vont tous dans l’intérêt de la population et du développement de notre commune. Pour ne plus se laisser tromper par ces détracteurs, les Possessionnais ont le droit de connaître la vérité.
Ainsi, mes détracteurs me reprochent le retrait de l’autopont, qui je le rappelle est à l’initiative de la Région, pour permettre la reprise des travaux d’achèvement de la nouvelle route du littoral (NRL). Ce qu’il faut savoir, grâce à notre anticipation en partenariat avec la collectivité régionale, divers travaux ont été réalisés et actions menées avant le retrait de la structure pour limiter l’impact sur la circulation et la gêne pour la population de la Possession. Et en effet, le trafic n’a pas été lourdement pénalisé dans le secteur Nord et au centre-ville.
Mes opposants dénoncent aussi le retard pris dans la réalisation de l’usine de potabilisation à Pichette et l’abandon voire un blocage administratif du Pôle loisirs de Dos d’Âne. Deux aménagements qui relèvent de la compétence du Territoire Ouest (TO) et, là encore, aucunement de la collectivité municipale.
En étant, un tant soit peu honnêtes, mes adversaires ne pourraient ignorer que la première pierre de l’usine de potabilisation a été posée au mois d’août dernier. Mieux, la structure a été redimensionnée triplant la production d’eau potable pour garantir la pérennité de l’approvisionnement.
Pour parler du Pôle loisirs du Dos d’Ane, il faut revenir quelques années en arrière. Porté par le TO (anciennement le TCO) depuis 2014 à l’initiative de la ville, le projet est en pause pour des raisons purement financières. Une étude menée par l’intercommunalité a révélé un coût d’exploitation exorbitant. Et le projet d’hôtellerie n’a pas abouti.
Néanmoins, pour rester dans cet esprit de loisirs, la collectivité travaille avec le TO sur un nouvel espace culturel couplé à un pôle de transformation agro-alimentaire.
L’idée d’un 4e collège à la Possession portée par le Département est elle aussi en bonne voie. La ville a refusée dans un premier temps de céder gratuitement le foncier d’une valeur de 5 millions d’euros. Mais les négociations ont permis d’acter le financement par la collectivité départementale d’équipements sportifs pour tous, hors période scolaire pour un montant de 4 millions d’euros. Un partenariat gagnant-gagnant pour notre population. Dans cet élan, le projet de construction d’une cuisine centrale porté par la ville va très bientôt démarrer maintenant que la question du foncier a été évacué avec la Région.
Enfin, quand ce n’est pas sur les projets, mes détracteurs s’épanchent sur ma gestion humaine parlant « d’instabilité structurelle ». Je voudrais tout d’abord saluer le travail des DGS et autres directeurs de cabinet qui se sont succédé. Grâce à leur investissement dans un contexte délicat – la ville était au bord de la mise sous tutelle en 2014 – la situation financière est maintenant saine et la collectivité transformée en profondeur. C’est ce qui compte avant tout.
Par ailleurs, les plans de titularisation et de Cédéisation menés depuis notre arrivée ont été bâtis sur les principes d’équité et de mérite.
En résumé, toutes les actions qui ont été menées, toutes les décisions qui ont été prises l’ont été dans un seul objectif : l’amélioration des conditions de vie des Possessionnais. Faire de la Possession une ville où il fait bon vivre, travailler et voir grandir ses enfants, tel est mon crédo. Voilà qui est dit ».
On n’a même pas besoin de l’opposition pour constater que les projets n’avancent pas : il suffit d’ouvrir les yeux. Depuis des années, tout est toujours la faute de la Région, du Département ou du Territoire Ouest, jamais de la mairie, alors que les retards et les blocages s’enchaînent sous nos fenêtres. Une collectivité, c’est censé anticiper, négocier et obtenir des résultats, pas répéter les mêmes justifications dès qu’un dossier patine. À ce stade, ce n’est plus une question de critiques politiques : c’est juste un constat évident pour tous les Possessionnais. La méthode actuelle ne fonctionne plus, et il est temps d’admettre que la commune a besoin d’autre chose, d’une autre direction, de quelqu’un de réellement capable de faire avancer la Possession.
On parle quand même d’une élue dont l’équipe à titularisé un cadre à la direction des affaires scolaires alors que ce dernier sors de prison ferme pour trafic de stupéfiant international….Ca pose le cadre!
Vanessa souhaite se retrouver face à Robert pour être sure de l’emporter au second tour , elle compte sur fontaine pour se rallier à elle. Mais domoun la pi couillon i voi zot viré tourné
C est bien connu tous nos hommes politiques mentent ,au lieu de dire la vérité et dire leurs programmes ,ils préfèrent massacrer tous les candidats mêmes ci cela n ont jamais exercé aucun mandat ils ont toujours quelque a redire ,eux sont les meilleurs mêmes avec leurs passés de corrompus et leurs electorats recrutés dans des emplois communaux pour s assurer leurs réélections vitameternam,tous pourris
oui voilà qui est dit et il fallait le dire…. La Possession d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec la Possession sous l’ère Robert. et les candidats qui critiquent ne sont que des malokis qui ont envie aujourd’hui de profiter du travail accompli….. et moi en tant que gramoune de la possession je dis stop à ceux qui sont des traites et ceux qui croient que la mairie est un héritage. J’ai grand plaisir aujourd’hui de me rendre dans les services communaux parce que je suis bien accueillie et accompagnée par des agents qui connaissent le travail et qui ne passent plus leur temps à discuter et à boire du café. Merci vanessa et ne changez pas
Un proprio terrien la « échange » son terrain (en hectare) pas la gnognotte ek la commine dan temps Roro. Roro la traversé au propre comme au figuré dan l’Archipels des Comores. Et kouk la s’passé pou lo ti créole son vie té ancré -qu’à moitié- puisque li la été viré illico presto ? Zot lé plongé dan le droit matin midi et soir té pourrez « arrange » un ti z’affaire fait en sorte vu le nombre d’année cale à li terla même surtout marmaille la reussi dan la vie mais non toute la parti de travers. Allez hop nana la besoin la place. Toute créole talère sera en dehors et toute cet en « dehors » sera en dans ? Cet la pou arriver. Moulin Joli té pas coma fine arrive un dépotoir ah lé vrai depuis le temps astaire bientôt un quatrième collège quand n’avait que collège R. Vergès pas parce que out pied lé pu laba que la ville y tourne pu. Après tout si elle apporte un savoir faire et lo pep lé content d’elle : Amen ! L’ époque Roro té aut’ chose. Ti zournal « jujube » na encore ? Lol !