À la suite d’un signalement, les gendarmes de la brigade de Tsingoni, appuyés par la compagnie de Koungou, sont intervenus dans un squat où ils ont mis au jour un élevage clandestin de chiens.
Sur place, les militaires ont découvert 12 chiots et un chien adulte, détenus dans des conditions préoccupantes. Les animaux, présentant des signes de négligence, ont immédiatement été pris en charge par une association de protection animale.
Une enquête a été ouverte afin d’identifier et d’interpeller les responsables de cet élevage illégal. Pour l’heure, aucune interpellation n’a été effectuée, mais les investigations se poursuivent.
Les forces de l’ordre rappellent que la maltraitance animale constitue un délit passible de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. Elles invitent la population à signaler toute situation suspecte impliquant des animaux en danger, soit en composant le 17, soit via le site officiel masecurite.interieur.gouv.fr.



bande de sauvages , après ils vont faire pareil chez nous , d’ailleurs ils lont déjà commencés bande de vermines .
Ce ne sont pas des êtres humains ça ce sont des vermines. Ils sont doués pour ça.
Comme c’est malheureux.
Après zot y vient chez nous et y fais la même chose.
J’espère qu’ils auront un bon revers de médaille.
ca ne m’étonne pas de cette race de dégénérés la preuve leurs congénères font la même chose ici vraiment des sauvages détraqués !!!!