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Manuel Valls promet un projet de loi contre la vie chère Outre-mer : encore un leurre ?

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Un « Ti kozman » qui portera bien son nom aujourd’hui puisqu’il sera vraiment « Ti ». Semaine très chargée de mon côté, donc pas le temps malheureusement, de disserter. Ce sera pour une prochaine fois.

Je ne vais pas m’attarder sur les « pitreries » à l’international entre Poutine, Trump et les autres : la paix ? La guerre ? Le cessez-le-feu ? Non la guerre ? Plutôt la paix !  Bref, de grands enfants qui s’amusent en jouant à se faire peur, avec un Trump qui se prend pour le tout puissant quitte à « exploser » la Bourse en deux temps-trois mouvements et quelques paroles insensées et un Poutine qui considère Trump comme son petit toutou. Je n’ose même pas vous parler de Macron qui, dans cette bataille d’éléphants, est un peu comme l’herbe, pour reprendre un proverbe africain. A savoir, écrasée. En effet, quand deux éléphants se battent, l’herbe est écrasée.

Je ne vais pas non plus m’attarder sur les comportements clownesques de certaines énergumènes dans la perspective des prochaines municipales de 2026 à la Réunion. Des personnes qui n’hésitent pas à péter publiquement un câble et à se donner en spectacle sur les réseaux sociaux tout en louant Dieu. Du grand guignolesque ! Heureusement que Dieu est grand et qu’il pardonne… même les clowns. En tout cas, ça fait pitié et ça fait honte à la Réunion !

Vous l’aurez compris, ça relèverait du pléonasme de dire que la campagne électorale pour les municipales a déjà commencé. C’est en effet déjà le cas à Saint-Leu mais je n’en dirai pas plus pour l’instant. Ça devient agaçant, insignifiant !

Mais il n’y a pas qu’à Saint-Leu. J’informe les amateurs de télénovelas, ceux notamment qui sont encore privés d’électricité et donc de télévision depuis le passage de Garance, qu’ils pourront toujours trouver leur bonheur sur freedom.fr et sur Facebook en suivant la nouvelle télénovela qui se joue aux Avirons avec dans les rôles principaux le maire Eric Ferrère et son ex-adjointe Nadia Roche Lesquelin.

Hier encore ces deux là se regardaient avec les yeux de Chimène mais aujourd’hui ils se détestent. Le maire vient de « virer » (façon de parler) son adjointe. En clair, Eric Ferrère lui a coupé les indemnités en lui ôtant ses délégations. Nadia Roche Lesquelin (employée à la Civis et proche de Michel Fontaine et aussi de Michel Dennemont, l’ancien maire) va dorénavant siéger du côté de l’opposition en espérant au fond d’elle que celle-ci pourra reprendre les rênes en 2026. En clair, que Michel Dennemont pourra virer Ferrère de la mairie des Avirons aux prochaines municipales. C’est le vœu le plus cher de Nadia Roche Lesquelin et de tous ses autres camarades qui ont été « remerciés » par Monsieur le maire qui, manifestement, ne tolère pas trop celles et ceux qui ne se mettent pas au garde-à-vous devant lui.

Nadia Roche Lesquelin entourée des deux anciens maires des Avirons. Photo postée sur son Facebook en janvier dernier. L’actuel maire Eric Ferrère a vu rouge !

Depuis qu’elle a pris la défense de Line Baillif, une autre adjointe virée par Ferrère, fin de l’année dernière, Mme Roche Lesquelin s’est mise dans le collimateur du maire. Donc, virée ! La suite au prochain épisode ou « acte » pour reprendre l’expression de Mme Roche Lesquelin.

Campagne électorale à Sainte-Suzanne aussi ? On me rapporte que Frédéric Maillot, député de la 6ème circonscription, « a tenu une réunion la semaine dernière à Bagatelle chez Frédéric Lakane, fils d’une des élues de Maurice Gironcel, le maire de la commune. Une réunion en tant que parlementaire de la circonscription ou en tant que futur candidat aux prochaines municipales à Sainte-Suzanne ?  Je vous avoue que je n’ai pas eu le temps de vérifier. A suivre !

Municipales encore, à Saint-Denis cette fois. Depuis que Farid Mangrolia a été « investi » par deux-trois camarades à lui comme « chef de l’opposition municipale » à Saint-Denis, il ne peut plus tenir en place et se voit déjà dans le fauteuil de Bareigts. Qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il tempête, il est partout avec son téléphone pour filmer et poster sur les réseaux sociaux : coulée de boue par ci, inondation par là… Bref, il ne rate pas une occasion de tirer à boulets rouges sur la maire en place, à savoir Ericka Bareigts, qui ne le « calcule » même pas. Un épiphénomène ? L’indifférence, il n’y a pas plus rageant !

A Salazie, Cindy Barbe-Robert, une militante associative occupe beaucoup l’espace. Elle est partout là où ça bouge : coupures d’eaux, coupures d’électricité, éboulis et barrages de routes. Mon petit doigt me dit que cette jeune maman très impliquée dans la vie de sa commune aurait des vues sur la mairie en 2026. A suivre également, même si, en face, tout semble aller pour le mieux à présent entre l’actuelle maire Sidoleine Papaya et l’ancien maire du cirque, Stéphane Fouassin, aujourd’hui sénateur.

Le sénateur maire, ancien maire de Salazie, Stéphane Fouassin et Sidoleine Papaya, l’actuelle maire.

Je vous l’ai dit, certains sont déjà en campagne. J’ai entendu (et j’ai vu sur les réseaux sociaux) sur des barrages érigés contre EDF, des manifestants (pas nombreux) prononcer des paroles comme « Bédier, espèce merde » à Saint-André ou encore « Selly volèr » à Saint-Benoit. Quel rapport avec les coupures d’électricité ? Des adultes qui s’expriment ainsi, franchement, c’est inquiétant. Comme si Joé Bédier, maire de Saint-André et Patrice Selly, maire de Saint-Benoit étaient électriciens et qu’ils avaient les compétences techniques pour rétablir le courant électrique chez les familles sinistrées. On peut bien entendu comprendre la colère somme toute légitime des personnes privées d’électricité deux, trois semaines après le passage du cyclone ; On peut comprendre et entendre leur détresse, leur inquiétude aussi surtout pour ceux qui ont encore des enfants en bas âge ou des personnes malades à garder à domicile, mais de là à insulter, à injurier les maires, ce n’est pas ça qui va ramener l’électricité. A ma connaissance, jusqu’à preuve du contraire, les opposants aux maires cités ci-dessus ne sont pas non plus électriciens. Et il n’est pas dit que s’ils avaient été au pouvoir, ils auraient pu, d’un claquement de doigts ou d’un coup de baguette magique, ramener le courant dans les maisons. Soyons sérieux, soyons honnêtes !

L’électricité, c’est l’affaire des spécialistes. Et les spécialistes en la matière, c’est EDF. D’ailleurs, son directeur régional, Dominique Charzat, sera l’invité de Radio Free Dom ce vendredi matin 21 mars à partir de 9 heures. Tout comme Jocelyn Mohit d’EDF vous a apporté, toujours via Free Dom, des réponses aux questions que vous vous êtes posées après Garance. Il y a encore queques clients privés de courant. D’où les barrages qui ont eu lieu hier et avant-hier à Saint-Benoit, chemin Takamaka.

De gauche à droite : Dominique Charzat, directeur régional d’EDF; Joé Bédier, maire de Saint-André et Fabrice Bonicel, sous-préfet de l’arrondissement Est

On sait aussi qu’EDF et tous ses renforts mettent le paquet pour rétablir autant que faire se peut la situation. Des réparations d’urgence. Qui vont tenir jusqu’au prochain cyclone ? La question est posée. Croisons les doigts pour qu’à tous les niveaux (électricité, eau, BTP), les choses soient prises plus au sérieux et que les normes en matière de construction soient revues pour que les réalisations soient plus solides, plus résistantes aux vents qui ne feront que s’intensifier à l’avenir en raison du dérèglement climatique. C’est un fait. Je ne fais que répéter ce que les « sachants » disent déjà. Au vu de ce qui s’est passé lors du passage de Garance, plus besoin d’avoir fait de grandes études pour savoir que la Réunion n’est plus à l’abri de cyclones dévastateurs.

Les dégâts sont là, visibles, importants. Ils sont évalués à plusieurs centaines de millions d’euros. Vingt-deux jours après le passage de Garance, les élus, notamment les maires qui ont été en première ligne et qui n’ont pas hésité à mettre la main à la pâte pour les travaux de nettoyage, ne savent toujours pas si le surprenant arrêté de reconnaissance de l’état catastrophe naturelle pris par le gouvernement le 7 mars dernier et publié au J.O le 12 mars, sera révisé. « L’état de catastrophe naturelle a été certes reconnu pour les 24 communes de l’île, mais  seules Sainte-Marie et Sainte-Rose sont concernées pour le phénomène de « vents cycloniques », tandis que les 22 autres communes sont uniquement reconnues pour les « inondations et coulées de boue », et/ou « inondation par choc mécaniques des vagues ». On ne rigole pas s’il vous plaît, la situation est grave !

Depuis cet arrêté, nombre d’élus ont pris leur plus belle plume pour supplier la commission de revoir sa copie. Il y a les parlementaires, les maires (ceux dont les communes ont été les plus touchées comme Bédier à Saint-André, Selly à Saint-Benoit, Bareigts à Saint-Denis, Séraphin à Saint-Paul etc…), les exécutifs des deux principales collectivités, les chambres consulaires. Le cyclone est passé le 28 février, l’arrêté a été pris le 7 mars, publié au J.O le 12. Nous sommes déjà le 21 mars, les communes ne savent toujours pas à quelle sauce elles vont être mangées.

Le Département a voté ce mercredi 19 mars (jour du 79ème anniversaire de la Départementalisation) une motion pour : « demander à l’État de procéder à une révision urgente de l’arrêté de catastrophe naturelle afin d’y intégrer toutes les communes qui ont subi des vents cycloniques violents et d’assurer une reconnaissance équitable des préjudices subis » ;  « D’insister sur la nécessité d’une réévaluation des critères de reconnaissance des vents cycloniques en prenant en compte l’ensemble des communes impactées sur la base des constats de terrain » ; « D’ appeler l’État à garantir un accès rapide et simplifié aux indemnisations pour l’ensemble des sinistrés, sans distinction injustifiée entre les communes ». Le Département qui « demande au Préfet de La Réunion et au Ministre des Outre-mer de relayer cette demande auprès du gouvernement afin qu’une modification de l’arrêté soit rapidement prise en compte pour répondre aux attentes légitimes des Réunionnais ».

Patrice Selly, maire de Saint-Benoit (avec l’écharpe tricolore) aurait ses entrées au cabinet du ministère des Outre-mer

Aux dernières nouvelles, Patrice Selly aurait eu des garanties du côté du ministère des Outre-mer (voir article sur freedom.fr). Hier soir, il a annoncé « être en mesure de déclarer que l’état de catastrophe naturelle sera reconnu pour Saint-Benoit ». Il ne reste plus qu’à attendre le nouvel arrêté !

Concernant le Fonds d’urgence de 200 millions d’euros annoncé par Manuel Valls lors de son passage à la Réunion les 6 et 7 mars dernier, personne n’a bénéficié du moindre centime d’euro.

A propos de visite, le ministre Valls se trouvait ces derniers jours aux Antilles ; Une visite de 6 jours. Là-bas, il a promis un projet de loi contre la vie chère dans les régions ultramarines. Courageux, il veut s’attaquer à « tous les facteurs de la vie chère ». Il a ainsi annoncé chez les Antillais « un plan de bataille complet et structurel » pour mettre fin à cette cherté de la vie à l’origine des émeutes qui avaient secoué la Martinique il y a environ 6 mois et à l’issue desquelles le gouvernement avait promis une enveloppe de 10 millions d’euros.

Manuel Valls plaide pour un renforcement de la concurrence, pour une lutte contre les pratiques anticoncurrentielles car, a-t-il dit, « de grands groupes sont présents à tous les niveaux de la chaîne ». Petite précision tout de même : Manuel Valls n’a rien inventé ; Il n’a pas trouvé ça tout seul. La bibliothèque départementale de la Réunion serait trop petite s’il fallait ranger dedans tous les documents, tous les rapports écrits à ce sujet, toutes les études réalisées, toutes les propositions de loi présentées par les parlementaires sur cette cherté de la vie Outre-mer qui remonte à l’époque de la colonie et qui découle d’une logique d’économie de comptoir.

Ce qui a manqué jusqu’ici aux ministres qui sont passés par la rue Oudinot et même aux différents chefs du gouvernement, c’est le courage justement de s’attaquer aux grands groupes super puissants qui font la pluie et le beau temps, qui sont l’alpha et l’oméga de l’économie dans les territoires ultramarins. Ce sont eux qui dictent leur loi concernant les prix.

Manuel Valls entouré du préfet Patrice Latron et du président du Département, Cyrille Melchior

Les récentes déclarations de Manuel Valls aux Antilles me font penser à celles d’Yves Jégo. Vous vous rappelez de ce jeune secrétaire d’Etat du gouvernement Fillon ? Il est resté à Medetom de mars 2008 à juin 2009. Pris dans la tourmente des manifestations contre la vie chère, début 2009, aux Antilles (44 jours de crise en Guadeloupe, 38 en Martinique), il a voulu lui aussi prendre les taureaux de la vie chère par les cornes. Mais c’est lui qui a été très vite « encorné » par les « taureaux » de la vie chère, ces grands groupes qui règnent en maître « et qui sont à tous les niveaux de la chaîne » de la cherté de la vie Outre-mer. Ces grands groupes dont leurs patrons ont la ligne téléphonique directe du Président de la République et ne perdent pas leur temps à discuter avec des ministres, qui plus est des Outre-mer. Si vous voyez ce que je veux dire ! Yves Jégo a dû plier bagage en juin 2009 après que ces grands patrons aient pris leur téléphone pour prendre des nouvelles de Nicolas Sarkozy, chef de l’Etat de 2007 à 2012.

Donc, sans vouloir sous-estimer toute la bonne volonté de M. Valls, sans vouloir non plus me montrer pessimiste, je voudrais comme Saint-Thomas voir pour croire à toutes ces belles paroles lâchées lors d’une visite, à cette belle promesse ministérielle. D’ici à la concrétisation de cette annonce faite par Manuel Valls, le gouvernement aura sans doute déjà été renversé et Manuel Valls ne serait peut-être plus ministre. Ce n’est pas ce que je souhaite évidemment car comme tous les domiens suis moi aussi « victime » de cette cherté de la vie qui perdure dans nos territoires, mais par empirisme, je reste sceptique, en me disant que c’est un leurre de plus pour occuper les esprits et gagner du temps jusqu’à la prochaine présidentielle. J’espère sincèrement me tromper. En attendant ce nécessaire (pour ne pas dire vital) et ambitieux projet de loi contre la vie chère Outre-mer, si Manuel Valls pouvait accélérer le déblocage des fonds d’urgence qu’il a promis pour réparer les dégâts de Garance, ce serait déjà pas mal. N’en parlons pas s’il pouvait accélérer le processus de révision de l’arrêté de l’état de catastrophe naturelle pour toutes les communes impactées, sans considération politicienne, alors là, ce serait la cerise sur le gâteau !

Le coup d’patte de Mathieu Hoarau au président de l’Urcoopa

Pour terminer, un petit mot sur la guerre de la volaille, je veux parler de la guéguerre entre l’Urcoopa et la société des Duchemann. C’est pour les initiés. Dans les milieux professionnels et autorisés, tout le monde rigole surtout depuis qu’Henri Lebon, président de l’Urcoopa et d’un tacon d’autres structures, a été obligé de se confondre en excuses et se dédire.

Via son  média préféré qui est (Zinfos 974), Henri Lebon a rendu public une lettre du préfet (celui-ci a dû apprécier !). Cette lettre commande aux acteurs de la filière avicole de réduire la production de volailles de 5%, en raison des soubresauts qui agitent le milieu, et notamment autour de la problématique du traitement des sous-produits, dévolus à la SICA AUCRE.

Pour Henri Lebon, c’est simple : « C’est pas moi, c’est les autres ». Il rejette la faute sur tout le monde sauf lui, et notamment sur Duchemann, sur la mairie de l’Étang-Salé, et sur la préfecture (le préfet a dû apprécier, bis !) !

Or,  Matthieu Hoareau, maire de l’Etang-Salé n’a pas du tout apprécié les accusations du sieur Lebon. Le jeune premier magistrat s’est fendu d’un droit de réponse, affirmant que les allégations de Henri Lebon sont « fantaisistes », tout en remettant vertement les choses en place, avec des arguments implacables. Fin diplomate, le maire de l’Étang-Salé dit ne pas vouloir « s’ingérer dans le combat de coqs », mais démonte carrément les mensonges de Henri Lebon. Un coup d’zergot qui a fait mal, manifestement puisque

Henri Lebon a dû courber l’échine en se fendant à son tour d’une réponse pour s’aplatir devant Matthieu Hoareau ! Toute honte bue, il dit l’inverse de ce qu’il avait affirmé en premier, et où il doit reconnaître que l’Étang-Salé a toujours été un partenaire de la filière volaille réunionnaise. Comme quoi, un bon coup de patte là où ça fait mal et la mémoire revient vite.  On rigole, mais pendant ce temps, le directeur général de l’Urcoopa a démissionné ; Les riverains des usines de l’Urcoopa et Pet Food à Saint-Paul ont déposé plainte pour nuisances ; La FRCA est liquidée ; La Cane est en redressement judiciaire ; La Soficoop est en procédure de sauvegarde sans compter qu’elle vient d’être déboutée par le tribunal de commerce dans sa croisade contre Duchemann pour récupérer l’abattoir de l’Étang-Salé ; La Sicalait, la Cilam et l’Aribev, ont fait l’objet d’une descente de la répression des fraude et la SICA AUCRE se révèle incapable de traiter la totalité des déchets de la filière volaille. A se demander, jusqu’à quand cette comédie va-elle durer ?… Sur ce, je vous laisse et vous souhaite un cari poulet pour ce week-end !

Y.M.

(montrougeyves@gmail.com)

 

 

 

 

Yves Mont-Rouge

montrougeyves@gmail.com
Téléphone : 0692 85 39 64

10 Commentaires

  1. Bonjour Yves.
    Je vais être retraité du régime des indépendants, c’est à dire avoir une traite clopinettes !
    Je voudrais m’engager dans l’armée comme réserviste, pour aller combattre un Ukraine, selon la volonté de Macron.
    Plusieurs avantages pour moi et pour la France :
    – peut-être de gagnerai plus comme militaire réserviste ?
    – si je me fais tuer assez vite, je participerai un peu au problème du financement des retraites ?
    – et enfin j’aurai peut-être une médaille décernée par Macron ?

  2. si à saint André les gens y ouvrent pas zot yeux et que zot y tombent encore dans les mensonges des Virapoullé pour faire croit aux gens que c est de la faute du maire que il y a coupures d eau et que n’a point courant , y faut que les gens lė bête pour croit ça .

  3. vous avez pas honte jean marie virapoullé ! emprofité quand les gens sont dans la détresse pour les exploiter ! vous avez jamais été proche des gens , vous avez rien à foutre de la misère des gens ! comme dit en créole  » lève bonheur et dort tard  » si vous voulez ressembler à Monsieur BEDIER , c’est quelqu’un qui a la main sur le cœur !

  4. pour saint André, on peut dire que le maire était présent sur le terrain pour ses administrés, depuis le 1 er jour on le voit faire énormément de choses pour le besoin de la population , merci à vous monsieur le maire

  5. Dire qu’un politique est un voleur, c’est une vérité! Surtout celui qui a causé un trou de plusieurs millions d’euros dans une SPL qui va licencier des employés! Il faut appeler un chat, un chat! Sa préoccupation, c’est d’indemniser les utilisateurs de groupes électrogènes qui coûtent au minimum 1500 euros! Qui paie un groupe à ce prix là? Un RSA ou un gros zozo! Le dracula de l’Est fait de la com mais si un petit malheureux a besoin d’aides, il faut qu’il donne 50 papiers et a droit a une enquête sociale pour savoir s’il a vraimenttout perdu!

    • On est enterrer avec ces truands bientôt ! Ne votez plus pour ces corbeaux de mauvaises augures, svp aux prochaines élections restez chez vous , hormis si vous aimez a vous faire mettre en centimètre et en millimètre

    • Suffit largue un souris les deux éléphants y vole. Comme doumbo. Restons dans le monde enfantin puisque lé deux marmailles pou amuse à zot. Pou jette le dès su nout tête. Un étincelle pou embrase partout et y trouvera pas qui la allume la mèche. Eux s’amusent à se faire peur et certains pou gaigne cap-cap. Nous voilà bien.

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