Les services de l’État ont ordonné la fermeture immédiate d’un restaurant situé au Port après un contrôle sanitaire révélant de multiples infractions aux règles d’hygiène. L’établissement présentait, selon les constats, des conditions de conservation, de manipulation et de stockage des aliments susceptibles de mettre en danger la santé des consommateurs.
Les inspecteurs ont relevé plusieurs manquements majeurs : manipulation de denrées en zone insalubre, non-respect des températures de conservation, absence de traçabilité des produits, présence de nuisibles vivants — rats, blattes et mouches — ainsi qu’un manque évident de nettoyage et de désinfection des espaces de travail.
Face à ces risques sanitaires avérés, la fermeture administrative s’est imposée. L’établissement ne pourra rouvrir ses portes qu’après une remise en conformité complète et une nouvelle inspection des services compétents.
Le préfet de La Réunion rappelle que la sécurité alimentaire demeure une priorité absolue. Des contrôles sanitaires sont régulièrement menés sur l’ensemble du territoire afin de garantir la protection des consommateurs et de prévenir tout risque lié à des pratiques non conformes.
Cette intervention s’inscrit dans la politique de vigilance renforcée menée par l’État, visant à assurer des standards d’hygiène stricts dans la restauration et à prévenir les dangers alimentaires.
Une question que les Réunionnais posent désormais ouvertement : pourquoi l' »ÉTAT » refuse-t-il de publier les noms de certains établissements fermés ?
À chaque fermeture administrative d’un commerce ou d’un restaurant pour raisons d’hygiène, les Réunionnais observent un phénomène récurrent : le préfet de La Réunion et son service communication ne citent pas toujours le nom de l’établissement concerné. Une pratique qui intrigue, voire agace, une population qui estime avoir le droit d’être correctement informée.
Dans le Val-d’Oise, par exemple, le préfet publie systématiquement le nom de tous les établissements fermés, accompagnés des motifs précis.
À Mayotte, même chose : chaque commerce sanctionné est clairement identifié, sans exception.Alors pourquoi, à La Réunion, certains noms sont divulgués… et d’autres non ?
pour le commentaire,deKamala il a raison le bon restaurant c’est la maison j’ai plus confiance a aucun restaurant a la première vue ses propre mais larierres boutique ont ne ses pas , les restaurant s devraient être contrôler une fois par mois.
Oté marmailles lé dangereux !!!
Comment bana té fé pou travail dans la makoterie ??? zot même té pas géné ???
Tous les restaurants i doit être contrôlé au moins une fois par an.
N’a rienk la chaise bleu lé propre!!! dan restaurant cuisinier i travail debout pas assise !!!!
Le meilleur restaurant c’est out kaz !!!
Cela devient compliqué ou trouver un bon restaurant, appâter avec l’ardoise ! Le menu du jour c’est le menu de la veille ! Lol , en adittion c’est le top des top ! Ils n’existent plus ces restaurants d’antan comme »chez fanfan » comme a la taverne dans le sud ou les produits étaient frais et cuisinés le jour ! A aujourd’hui j’y vais plus dans les restos , autant ceux qui sont indistruels ! Je me demande si le patron mange de ce qu’il fabrique ?
Évitons les restos,ou on cuisine a l abri des regards des clients ,la cuisine doit être ouverte au vue de la clientèle.boycotons ces bouis bouis a l abri des regards.
Nous consommateurs on aimerais savoir quel restaurant ?
Appeler Mr le préfet , comme son homo du val d’Oise qui cite Les enseignes ! Ici on préfère travailler en Misouc……
.la réunion ôté !
Aujourd’hui, beaucoup de negligence sont fait aux detriments de la santé juste pour le pognon.
Avant effectivement moin restriction de regles et pourtant moin de signalements ou de problème. Mais les gens avant étaient precautionneux et veille aux moindre gaspillage, et surtout à la fidèlitè des clients. Aujourd’hui c’est profits, taxe et facture sans parler des salaires des employès sans parler des cotisations auprès des caisses.
Quoi? Juste pour 1 ou 2 mouches ou une blatte qui passent par la ?
C deja pluq propre que bcq d endroits ouverts
Faut arrête fait l’argent su le dos d’moun ! Ceci dit. Oussa y lé bande ti vendeur samoussas té vende un franc nous té achète par dix ? Nous té pose pas question su la provenance et zamais tombe malade ! Fini ce l’époque…