Israël frappe le cœur du nucléaire iranien, l’axe des tensions s’élargit

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Les tensions au Moyen-Orient ont franchi un nouveau seuil après une offensive aérienne massive lancée contre des infrastructures stratégiques en Iran. Plusieurs installations liées à l’appareil militaire et nucléaire du pays ont été ciblées. Des bâtiments administratifs, des dépôts de carburant et des centres technologiques ont été détruits, dont un site majeur d’enrichissement d’uranium et une usine de conversion nucléaire. La capitale iranienne a été secouée par des explosions dans la nuit.

La riposte iranienne n’a pas tardé. Des missiles et drones ont visé des zones centrales et septentrionales du territoire israélien. Ces tirs ont provoqué de lourdes pertes humaines, avec plusieurs morts et des blessés par dizaines. Des infrastructures aériennes ont également été touchées.

Ce nouvel épisode de confrontation s’est accompagné de pertes symboliques. Des figures militaires de premier plan ont trouvé la mort, parmi lesquelles les commandants en chef de l’appareil sécuritaire iranien et plusieurs scientifiques impliqués dans le programme nucléaire. Les autorités iraniennes dénoncent une série d’exécutions ciblées et affirment que la majorité des victimes civiles sont tombées sous des frappes considérées comme illégales.

L’écho international ne s’est pas fait attendre. Washington a exprimé un double langage : soutien assumé à Israël, tout en appelant à la cessation des hostilités. Moscou, par la voix de son chef d’État, a déclaré que le conflit risquait d’échapper à tout contrôle si une désescalade rapide ne survenait pas. De son côté, Pyongyang a ouvertement apporté un appui politique et militaire à l’Iran, condamnant les frappes israéliennes comme une provocation grave. Un renfort logistique et des équipements seraient en préparation.

Alors que les efforts diplomatiques pour rétablir un canal de discussion sur le nucléaire iranien sont suspendus, les positions se durcissent. Téhéran rejette toute reprise de coopération avec les instances internationales tant que les attaques contre ses infrastructures se poursuivent. Le risque d’une extension régionale du conflit devient tangible, nourri par les alliances implicites et les promesses d’assistance désormais publiques.

3 Commentaires

  1. Les visualisations offrent un regard inédit sur ce qu’ont pu vivre les Français sous un ciel en guerre
    «Transformer les villes en champs de ruines»

    Le général Eisenhower, décrit en mai 1944 le rôle essentiel dévolu à l’aviation dans l’opération « Transportation plan ». Il a établi deux objectifs principaux pour ses bombardiers lourds. Tout d’abord, la destruction du système ferroviaire français, le but est de paralyser les infrastructures pour empêcher l’envoi de renforts allemands vers les zones de débarquement et ensuite la démolition d’un certain nombre de villes normandes carrefours (Saint-Lô, Caen…) « pour les transformer en champs de ruines difficiles à franchir pour les troupes allemandes » explique Andrew Knapp, historien et auteur de « Les Français sous les bombes alliées, 1940-1945 » aux éditions Tallandier.

    Les bombardements en Normandie avant le 6 juin 1944, le jour même du débarquement et après, furent particulièrement dévastateurs. L’historien français Henri Amouroux dans La grande Histoire des Français sous l’occupation déclare que les bombardements anglo-américains ont fait environ 52 000 victimes : 20 000 civils furent tués dans le Calvados, 14 800 dans la Manche, 10 000 en Seine-Inférieure, 4 200 dans l’Orne, 3 000 dans l’Eure.

  2. Alexis Haupt Philosophie

    Pour qu’une guerre advienne, 4 éléments sont toujours indispensables :

    1. Des puissants ayant un intérêt à la guerre

    2. Des dirigeants fous suivant l’agenda de ces puissants

    3. Des médias complices cachant les 2 premiers points

    4. Une masse qui ignore les 3 premiers points

  3. « -Netanyahou n’est PAS les Israéliens.
    -Zelensky n’est PAS les Ukrainiens.
    -Macron n’est PAS les français.
    Il faut arrêter de faire un amalgame entre le peuple (auquel personne ne demande son avis) et leurs « dirigeants » qui décident seuls avec la guerre comme unique horizon. »

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