Ce dimanche 17 août, la « coalition des volontaires », regroupant les principaux alliés de l’Ukraine, s’est réunie en visioconférence. Emmanuel Macron a co-présidé cette rencontre, qui survient au lendemain du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine, et à la veille d’une nouvelle rencontre cruciale prévue à Washington entre le président américain et Volodymyr Zelensky.
Autour de la table virtuelle figuraient notamment la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le dirigeant conservateur allemand Friedrich Merz, le secrétaire général de l’Otan, ainsi que plusieurs chefs de gouvernement européens et nord-américains.
L’Europe veut peser dans les négociations
Le président français a insisté sur la nécessité pour l’Union européenne d’être directement représentée dans toutes les discussions internationales concernant l’avenir de l’Ukraine. « Une Europe forte » doit être au cœur des prochains sommets, a plaidé Emmanuel Macron, refusant que le sort de Kiev ne soit négocié uniquement entre Washington et Moscou. Ursula von der Leyen a confirmé qu’elle se rendrait lundi à Washington aux côtés de Zelensky, accompagnée d’autres dirigeants européens.
« Poutine ne veut pas la paix »
À l’issue de près de deux heures d’échanges, Emmanuel Macron a tenu un discours ferme vis-à-vis de Moscou. Selon lui, « un seul État propose une paix qui ne serait en réalité qu’une capitulation : la Russie ». Interrogé sur les intentions du président russe, il a été catégorique : « Est-ce que je pense que Vladimir Poutine veut la paix ? Non. » Le chef de l’État a réaffirmé que la coalition des volontaires vise « une paix robuste et durable », et non un compromis imposé sous la menace des armes.
Zelensky réclame un cessez-le-feu et réaffirme l’intégrité territoriale
De son côté, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rappelé que toute négociation devait garantir l’intégrité territoriale de son pays. « Nous devons arrêter les tueries, mais Poutine a beaucoup d’exigences et il faut du temps. Nous ne pouvons agir sous la pression des armes, il faut un cessez-le-feu », a-t-il déclaré. Selon la Constitution ukrainienne, a-t-il rappelé, aucun abandon de territoire n’est envisageable.
Les États-Unis agitent la menace de sanctions
Le secrétaire d’État américain Marco Rubio a prévenu Moscou qu’en cas d’échec des pourparlers, de nouvelles sanctions seraient adoptées. « En fin de compte, si aucun accord n’est trouvé, il y aura des conséquences », a-t-il averti sur la chaîne NBC. Cette position renforce la ligne dure adoptée par Washington, tout en soutenant la nécessité d’une médiation internationale.
Une bataille diplomatique décisive
Alors que certains dirigeants, comme le Premier ministre suédois Ulf Kristersson, ont choisi de ne pas participer au déplacement à Washington, le cœur des discussions va désormais se jouer entre la délégation européenne, l’Ukraine et les États-Unis. Pour Macron, l’enjeu dépasse les frontières ukrainiennes : « C’est un moment crucial, non seulement pour Kiev mais aussi pour la sécurité de l’Europe dans son ensemble. »



grace à la clique de pianobite et de ses escrocs en bande organisée, la Russie va continer les combats et les Russes iront prendre Odessa crée par la Grande Catherine et le Richelieu.
cet adorateur des anglosdétraqué bellicistes adepte des sectes de la City londonnienne et des comptes offshores veut plonger les français dans une misère oprofonde
les prix explosent, les services hospitalier , éducatifs etc en dégringolade..
ils se prend pour Napéléon et ignore sa fin tragique..car c’est un inculte et un incapable.
ses patrons de mackinsey et blackrocks qui lui font ses discourts sont des ordures
et cet abruti suit leurs consignes en empochant aux passage ses commissions
C est à se demander quand boug la vas arrêté de maille son boyo dans sac y regarde pas lu