Les enfants ont l’obligation d’aider un parent ou un beau-parent qui n’est pas en mesure d’assurer ses besoins fondamentaux.
On parle d’obligation alimentaire.
Qu’est-ce que l’obligation alimentaire ?
L’obligation alimentaire est une aide apportée à un parent ou à un beau-parent qui n’a pas les ressources financières pour assurer ses besoins fondamentaux (logement, nourriture, soins, dépenses courantes…).
Elle est versée sous la forme d’une pension alimentaire ou en nature (obligation d’héberger, de nourrir et d’entretenir…).
La personne qui réclame l’obligation alimentaire est appelée « créancier d’aliments ».
Celle qui la verse est appelée « obligé alimentaire » ou « débiteur d’aliments ».
Qui doit l’obligation alimentaire ?
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Les enfants et petits-enfants, à l’égard de leur père, mère ou autres ascendants dans le besoin.
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Les gendres et belles-filles, à l’égard de leurs beaux-parents dans le besoin. En raison des obligations liées au mariage, un époux doit aider le parent de son époux en cas de besoin. Cette obligation cesse au décès de l’époux qui faisait l’affinité et des enfants issus de l’union.
En cas d’adoption, l’obligation alimentaire dépend à la fois du type d’adoption (simple ou plénière) et du lien familial (filiation adoptive ou filiation biologique).
Comment faire une demande ?
Le créancier d’aliments qui demande l’aide doit démontrer qu’il est dans le besoin, c’est-à-dire qu’il ne peut pas faire face à ses besoins fondamentaux (logement, nourriture, soins, vêtements).
Avant de solliciter le juge, il peut d’abord faire une demande à l’amiable.
Comment est fixée l’obligation alimentaire ?
Le montant de l’obligation alimentaire est fixé par le juge en fonction des besoins du créancier d’aliments et des ressources du débiteur d’aliments.
Il n’existe pas de barème.
Peut-on être dispensé ?
Le juge peut décharger un ou plusieurs débiteurs d’aliments dès lors qu’ils ont des ressources insuffisantes ou des charges trop importantes pour venir en aide à leur parent dans le besoin.
Qui a le droit de pomper sans envergone le pactole du patriarche ? Un raptout de la famille sans lien de sang ! Bonne année 2026 les raptouts !
oui on est obligé ….. et c’est valable aussi dans l’autre sens. les parents sont obligés d’aider leurs enfants jusqu’à un certain âge…. Mais il y en a beaucoup qui s’en débarrasse en en laissant leurs enfants se mettre en couple à 15 ans ……
Y trouvera pas ce genre de questionnement dan certaine communauté parce y fait partie intégrante de zot coutume. La Reunion té coma avant et pas rienk pou l’ascendant. Un voisin té dan le besoin té aide sans que té demande souplé. Parce domoun té porte l’attention. La vie actuelle y pousse chacaine à être égocentrique. Ou regarde pu domoun comme out semblable. Na beaucoup d’étrangers c’est pu le voisinage d’avant. Mais un moune y reste un moun. Domoun lé tenté à grimpe su la hauteur et y regarde pu cet en bas. Un course vers la consommation où l’essentiel na pu son place. Pu des achats utiles. Un dressing au ras bord même si y porte les même vêtements, même chaussure. Etre de bon parents pour faire de bons enfants parce n’aura point un des deux pou rache le croc à l’autre. Sera chacaine son démerde. Beaucoup famille la Reunion lé dan situation là.
incomprehensible … meme chatgpt ne peut traduire
si ou comprend pas démerde a ou, cette Kiki y di lé parfaitement vrai. y faut avoir un certain age pour avoir connu çà.
Que pourrais-je te dire bolo ? Tu n’as aucun ami réunionnais qui aurait la délicatesse pour te traduire ? Moin mi exprime dan mon langue mais lé pas un écrit académique cet na diplôme la dans. Parce moin mi n’aura du mal à lire dan zot créole wzk. Certaines chansons en créoles années 70 pourtant pas si éloignées que ça c’est malheureux nous avons du mal à comprendre !