Les associations expriment de vives inquiétudes face au projet de loi de finances pour 2026 (PLF 2026), qui prévoit des mesures budgétaires susceptibles d’affecter les plus vulnérables. Parmi les propositions, le gel des dépenses publiques, y compris des prestations sociales et des pensions, est envisagé, ce qui pourrait entraîner une précarisation progressive des ménages modestes. Les associations redoutent également des impacts sur l’accès au logement, à la santé et à l’alimentation, dans un contexte où les inégalités se creusent et où les filets de sécurité sont déjà fragilisés .
Par ailleurs, un rapport de Bercy suggère de réduire les réductions fiscales sur les dons aux associations, ce qui suscite des inquiétudes supplémentaires quant à la pérennité du financement associatif.
Pour les associations, le gouvernement fait preuve d’« obstination » en cherchant à faire supporter des efforts budgétaires conséquents à celles et ceux qui dépendent le plus de la solidarité. Elles demandent notamment le maintien de la revalorisation de toutes les prestations sociales, la suppression du doublement des plafonds de franchises médicales et le rétablissement des aides au logement pour tous les étudiants étrangers hors Union européenne.
Face à ces propositions, les associations appellent à un réexamen des mesures envisagées, soulignant la nécessité de préserver les acquis sociaux et de soutenir les initiatives solidaires.



Votez macron quvils disaient
Ces associations ecolo bobo de gauche ne servent à rien et sont totalement discreditees donc sans intérêt
Le 3/4 ce sont des associations camarades, familles etc où on gere colme si ‘ argent leur est dû, arrêtons avec ces plans foireux, obscurs bon même arreter de donner