Quand le caddie se vide, la colère monte. Et Audrey Bellim l’a bien compris. Armée de 31 amendements, la sénatrice monte au créneau pour que le projet de loi « Vie chère » ne reste pas un simple coup de com’ gouvernemental. Objectif : faire baisser les prix, pas les bras.
Demain soir, le Sénat va entendre parler de la Réunion et pas qu’un peu. Audrey Bellim, sénatrice engagée et déterminée, s’apprête à défendre pas moins de 31 amendements, épaulée par Victorin Lurel et les sénateurs socialistes qui en ont déposé 70 au total.
Parmi les propositions phares : donner une personnalité morale à l’observatoire des prix pour qu’il puisse enfin enquêter et sanctionner, plafonner les parts de marché à 25 % pour éviter les monopoles, et supprimer la double taxation sur les frais postaux qui plombe les colis comme les budgets.
Bellim ne veut pas d’un texte symbolique, elle veut du concret, du palpable, du « ça se voit sur le ticket de caisse .»
Mais tout n’est pas gagné. Plusieurs amendements ont déjà été jugés irrecevables, trop éloignés du cœur du texte ou trop coûteux pour entrer dans le cadre budgétaire. Pourtant, la sénatrice ne lâche rien : elle espère en faire passer au moins la moitié, et surtout ceux qui peuvent avoir un impact immédiat.
Elle insiste sur l’urgence d’agir : « Derrière chaque ticket de caisse, il y a une mère de famille, un père de famille. Ce qu’on attend, c’est que les prix baissent, pas que les caddies rétrécissent. »
Pour elle, la vie chère ne se résume pas à l’inflation : « c’est aussi le niveau des salaires, les petites retraites, le coût du logement et du foncier, et l’accès aux services essentiels. » Bref, un chantier vaste, mais incontournable.
Ce projet de loi, initié par Manuel Valls et repris par Naïma Moutchou, marque une reconnaissance officielle du problème. Mais Bellim veut aller plus loin, plus fort, plus vite. Elle appelle à une mobilisation courageuse et lucide, pour que les Réunionnais ne soient plus les oubliés du pouvoir d’achat.
« La vie chère, c’est un sujet explosif. Si on ne le traite pas sérieusement, on alimente la colère et la défiance. »
Alors que le Sénat s’apprête à examiner le texte, Audrey Bellim promet de se battre pour que la loi ne soit pas juste symbolique, mais « palpable dans le portefeuille « des Réunionnais.
À suivre de près… parce que cette fois, le débat sur la vie chère pourrait enfin faire bouger les lignes.
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LI, POURAS FAIRE SECQ’UELLE I VEUT MéME EN ETANTSENATRICE OU AUTRES LI SERRAS TOUOURS UN (MERDE )POUS BAND Z’OREYL QUI COMMANDE A NPOUS ET QUI Fé LES LOIS§§§ LI SERRAS TOUJOURS IN TI FEMELLE, DES ILES ET C’EST TOUT COMME TOUTES LES RESPONSABLES DE LA REUNION ET QUE Lé REUNIONNAIS PAR RAPPORT BAND Z’OREYL QUI DOMINNE A NOUS ICI A LA REUNNION????
et elle son ticket i vaut combien
Pendant que tout ce bann blagueurs y cause; tous les prix y rogmante.
Na rienk not salaire ek not salarié y fé du sur place !
Revolution voila ce qu on doit faire