La Cour de cassation a mis un point final, ce mercredi 26 novembre, à l’affaire Bygmalion en rejetant le pourvoi de Nicolas Sarkozy. Il s’agissait de l’ultime recours de l’ancien président contre sa condamnation pour financement illégal de campagne électorale. Par cette décision, la haute juridiction a confirmé l’arrêt de la cour d’appel qui avait reconnu coupables un candidat à l’élection présidentielle, son directeur de campagne ainsi que deux dirigeants du parti qui le soutenait, pour des faits liés au dépassement et à la dissimulation des dépenses de campagne. Dans un communiqué, la Cour a rappelé la portée de cette confirmation, qui rend la condamnation irrévocable.
Ce jugement intervient alors que le dossier Bygmalion avait été relégué au second plan dans l’actualité récente de Nicolas Sarkozy, bouleversée par son incarcération. Il n’en demeure pas moins un tournant judiciaire majeur : avec cette décision, l’ex-chef de l’État enregistre sa deuxième condamnation définitive. La première remonte à décembre 2024 dans l’affaire dite des écoutes, également appelée dossier Bismuth, où il avait été condamné à trois ans de prison, dont deux assortis de sursis, pour corruption et trafic d’influence.
En l’espace d’un an, l’ancien président voit donc deux procédures emblématiques se clore par des sanctions devenues définitives, renforçant l’image d’un destin politique désormais indissociable d’une longue séquence judiciaire.



voilà le résultat d’avoir donné la nationalité française à Mayotte, et maintenant nous créoles on est volé, agressé par ces écervelés qui viennent de là bas , il n’y aura jamais de vivre ensemble avec eux , car c’est des gros paresseux qui profitent de nos impôts .