Mardi 30 décembre 2025 – Météo, éphéméride et horoscope du jour

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Publié: 30 décembre 2025 (il y a 18 heures)

Mardi 30 décembre 2025 – Météo, éphéméride et horoscope du jour

Mardi 30 décembre 2025

364ᵉ jour de l’année – 53ᵉ semaine

Phase de la lune : presque pleine

Lever de la lune : 18h42 – Coucher : 10h11 (le 31)

Lever du soleil : 06h07 – Coucher : 18h29 à Saint-Denis

Durée du jour : 12h22

SAINTS ET FÊTES

Nous fêtons saint Roger, évêque du XIIᵉ siècle, connu pour sa sagesse et sa défense des plus modestes.

Autres prénoms : Rogier, Rogelio, Rogers.

Il est associé à la protection et à la prudence.

JOURNÉES MONDIALES

Journée mondiale de la gratitude profonde

Journée internationale des solidarités simples

MÉTÉO

Matinée ensoleillée sur le littoral, nuages plus présents sur les hauts l’après-midi.

Quelques averses possibles dans l’Est.

Températures entre 20 °C et 29 °C, vent faible, mer peu agitée.

MARÉES

Pleine mer : 18h57

Basse mer : 01h37 (le 31 décembre) et 12h41

Coefficients : 14 le matin – 13 le soir

DICTON

À la saint Roger, l’hiver se resserre.

NAISSANCES CÉLÈBRES

Rudyard Kipling, écrivain britannique, né en 1865

Paul Bowles, écrivain américain, né en 1910

Davy Jones, chanteur britannique, né en 1945

Tiger Woods, golfeur américain, né en 1975

DÉCÈS CÉLÈBRES

Roberto Rossellini, cinéaste italien, mort en 1977

Richard Rogers, architecte britannique, mort en 2021

Sonny Bono, chanteur américain, mort en 1998

HOROSCOPE DU JOUR

Bélier : énergie franche, initiatives fluides

Taureau : stabilité douce, journée rassurante

Gémeaux : échanges vifs, idées inspirées

Cancer : intuition claire, apaisement intérieur

Lion : ambition nette, avancées solides

Vierge : rigueur accrue, organisation parfaite

Balance : harmonie relationnelle, climat doux

Scorpion : lucidité profonde, bonnes décisions

Sagittaire : enthousiasme vif, horizons nouveaux

Capricorne : persévérance, progression continue

Verseau : créativité vive, projets originaux

Poissons : sensibilité fine, intuition précise

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Saint-Joseph : découverte de 2337 plants de cannabis, arrestation de 2 individus

Saint-Joseph : découverte de 2337 plants de cannabis, arrestation de 2 individus

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Publié: 29 décembre 2025 (il y a 1 jour)

Le samedi 29 novembre 2025, les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Joseph ont lancé une opération de grande envergure suite à la découverte d’un vaste champ de “Zamal”. Rapidement et avec précision, les forces de l’ordre ont démantelé cette exploitation illégale, procédant à la saisie de 2  337 plants de cannabis.

Deux personnes suspectées d’être à l’origine de cette culture ont été placées en détention provisoire. L’intervention a également permis de confisquer plusieurs véhicules, téléphones portables et sommes d’argent liquide. Selon les autorités, cette opération s’inscrit dans la lutte contre les trafics et les dangers liés à la consommation de drogue, en particulier pour la jeunesse locale.

Les gendarmes rappellent que le cannabis n’est pas une solution et constitue souvent une porte d’entrée vers les drogues dures. Leur message est clair : protéger les territoires et prévenir les addictions restent une priorité.

2 Commentaires

  1. Bien que l’opération menée par les gendarmes à Saint-Joseph le 29 novembre 2025 ait permis la saisie de 2 337 plants de zamal et l’interpellation de deux personnes, il est légitime de questionner l’efficacité à long terme de cette approche répressive dans la lutte contre les trafics et les risques liés à la consommation.
    Tout d’abord, l’idée selon laquelle le cannabis constitue une « porte d’entrée vers les drogues dures » est largement contestée par la recherche scientifique contemporaine. Cette théorie, souvent qualifiée de « gateway hypothesis », repose principalement sur des corrélations observées (les consommateurs de substances dures ont souvent commencé par le cannabis), mais de nombreuses études, y compris des méta-analyses et des travaux du National Institute on Drug Abuse (NIDA) aux États-Unis, montrent qu’il s’agit davantage d’une association due à des facteurs communs (environnement social, prédispositions génétiques, accès précoce à des substances légales comme l’alcool ou le tabac) plutôt qu’à un effet causal direct. Des recherches récentes, comme celles publiées dans le Journal of Experimental Criminology ou par RAND, indiquent que cette hypothèse ne tient pas lorsqu’on contrôle ces variables. Au contraire, dans des contextes de légalisation (Canada, Uruguay, certains États américains), aucune augmentation significative de la consommation de drogues dures n’a été observée, et parfois même une substitution du cannabis à l’alcool ou aux opioïdes, réduisant certains risques.
    Ensuite, la prohibition actuelle alimente un marché noir qui génère violence et insécurité, plutôt que de les réduire. Des études sur l’impact de la légalisation montrent souvent une diminution des crimes violents et des propriétés liés aux trafics (par exemple, analyses en Colorado et Washington post-légalisation, ou au Mexique pour les zones frontalières). À La Réunion, où le zamal est profondément ancré culturellement et pousse naturellement dans un climat idéal, la répression crée un circuit illégal avec exportations vers Maurice, réseaux locaux et risques associés (armes, blanchiment). Une régulation contrôlée pourrait priver ces réseaux de revenus, tout en générant des taxes pour financer prévention et éducation.
    Concernant la protection de la jeunesse, les données à La Réunion montrent une expérimentation élevée (environ 47 % des 17 ans en 2017, selon l’OFDT), mais inférieure à certains usages d’alcool ou tabac. La prohibition n’empêche pas l’accès : le marché noir ne vérifie ni l’âge ni la qualité, exposant les jeunes à des produits potentiellement adultérés (« chimique » ou résine importée). Des modèles comme celui du Canada ou de l’Uruguay, avec vente réglementée (âge minimum, dosages contrôlés, information), ont stabilisé ou réduit la consommation chez les mineurs, tout en améliorant la qualité et en finançant des programmes de prévention.
    Enfin, le zamal réunionnais, variété endémique, pourrait représenter une opportunité économique légale (thérapeutique déjà expérimenté en France, ou récréatif dans un cadre encadré), diversifiant l’agriculture au-delà de la canne à sucre en déclin, tout en réduisant les coûts sociétaux de la répression (prisons, enquêtes).
    Une politique plus nuancée, axée sur la réduction des risques, la régulation et l’éducation, protégerait mieux la population, notamment les jeunes, que des opérations ponctuelles qui ne font que déplacer le problème. Le débat mérite d’être ouvert, en s’inspirant d’expériences internationales réussies.

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