Une vidéo de surveillance montrant une femme subtilisant une boîte de gâteaux sur le comptoir d’une pizzeria de Saint-Gilles circule largement sur les réseaux sociaux. Le propriétaire, excédé, a publié la vidéo sur sa page Facebook, accompagnées d’un message dénonçant la « voleuse » :
« Vol dans notre pizzeria de St Gilles, Regardez cette voleuse de gâteaux elle n’ a pas honte. »
L’indignation est réelle, mais cette diffusion pose une question de droit : jusqu’où un commerçant peut-il aller pour dénoncer un vol ?
La scène est rapide : une femme saisit discrètement une boîte de conservation remplie de gâteaux et s’en va tranquillement avec.
Le gérant a décidé de partager la vidéo pour alerter et, selon lui, limiter les pertes causées par ce type d’actes répétés.
Si la colère du commerçant est compréhensible, la loi française encadre strictement la diffusion d’images de vidéosurveillance. Toute personne a droit au respect de son image et de sa présomption d’innocence. Diffuser publiquement une vidéo accusant une personne de vol, sans décision judiciaire, peut être considéré comme :
• Une atteinte au droit à l’image, si la personne est reconnaissable.
• Une diffamation publique, car elle est présentée comme coupable avant toute condamnation.
Le commerçant qui diffuse de telles images risque :
• Des poursuites civiles, avec indemnisation de la personne filmée pour atteinte à sa réputation.
• Des sanctions pénales pour diffamation.
• Des sanctions administratives, car la vidéosurveillance doit être utilisée uniquement dans le cadre d’une enquête policière ou judiciaire.
La procédure légale est claire :
1. Déposer plainte et remettre les enregistrements aux forces de l’ordre.
2. Conserver les vidéos comme preuves, sans diffusion publique.
3. Laisser la justice identifier et sanctionner l’auteur.



Un moune i vole manger. Ok i vole. Mais pose a zot la question de la motivation avant lance a li la première pierre. Peut-être je dis bien peut-etre i vole pou son marmaille, au pied du mur ou oeut faire l impensable
On voit rien
Ben c’est sa la justice mais moin.mi dit i fo fe montré mm o moins n’aura plus de vol
le laxisme total et absolu.
on aurait du couper les 2 bras et on verra s’ils vont encore volé.
En FRANCE aujourd’hui les voleurs sont mieux protégés que les victimes. C’est comme çà. C’est normales élus qui font les lois seprotègent aussi.