La semaine a été marquée par deux affaires de violences qui ont mobilisé les gendarmes à Mayotte et conduit à des condamnations fermes.
Agression en forêt à Miréréni
Le mardi 12 août 2025, deux personnes ont été victimes d’une agression dans la forêt de Miréréni. Après plusieurs jours d’enquête, les gendarmes de la brigade de Tsingoni ont interpellé, le dimanche 17 août, deux suspects.
Le principal auteur a comparu ce jeudi 21 août devant la justice : il a été condamné à trois ans de prison ferme et maintenu en détention. Le second individu, finalement mis hors de cause dans cette affaire mais en situation irrégulière, fait l’objet d’une procédure d’éloignement.
Obstructions et violences à Mangajou
Quelques jours plus tard, le mardi 19 août, des obstacles ont été érigés sur la RN2 à Mangajou. Lors de l’intervention, les gendarmes ont essuyé des jets de projectiles. L’un des auteurs a été immédiatement interpellé. Jugé à son tour le jeudi 21 août, il a été condamné à une peine d’un an de prison ferme et a été incarcéré.
Une fermeté judiciaire affichée
Ces deux condamnations illustrent la volonté des autorités judiciaires de Mayotte de répondre avec fermeté aux violences et aux troubles à l’ordre public. Les gendarmes restent mobilisés pour sécuriser le territoire, où les tensions sociales et sécuritaires demeurent vives.



Trop arriéré ils ont voulu devenir » FRANÇAIS » et ils cassent tout et foutent le bordel jusqu en métropole aussi
Macron lâche cette île de merde ou.vivent.des gens.incivilises qui connaissent que la violence ils vivent encore à l ère primaire et tribale même.si.on les inserent dans un monde moderne ils ne s adaptent pas.
Dommage que zot la pas demande à devenir françaIs na trente ans de ça. Té un affaire té fini. Moderniser les endroits que n’avait besoin. Créer des emplois. N’aurait eu un suivi comme pou la Reunion à chaque intempéri les Archipels des Comores n’aurez laisse à zot tranquille.