Vaccination : un calendrier pour toute la vie, pas seulement pour l’enfance

2 min de lecture
4

En France, la vaccination ne s’arrête pas à la petite enfance. Le calendrier vaccinal 2025 publié par Santé publique France nous rappelle que chaque étape de la vie est concernée par des rappels ou des recommandations spécifiques. Mieux comprendre ce calendrier, c’est mieux se protéger soi-même, mais aussi son entourage et la société dans son ensemble.

De la naissance à 2 ans : une protection vitale dès les premiers mois

La majorité des vaccins obligatoires sont administrés durant la première année de vie. Ils protègent contre des maladies graves voire mortelles comme la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite (DTP), la coqueluche, l’hépatite B, la rougeole (ROR), la méningite (pneumocoques, Hib, méningocoques B et ACWY), ou encore le rotavirus.

Ces vaccinations se font par étapes, à 2, 4, 11 et 12 mois, avec parfois un rattrapage jusqu’à 18 mois selon les cas. Ce socle immunitaire précoce est essentiel pour traverser les premières années de vie avec une protection maximale contre les agents infectieux majeurs.

De l’enfance à l’adolescence : des rappels et de nouvelles priorités

À partir de 6 ans, puis entre 11 et 14 ans, plusieurs rappels sont nécessaires pour maintenir l’efficacité des premières doses. La vaccination contre le papillomavirus (HPV), désormais recommandée dès 11 ans chez les filles et les garçons, constitue une avancée majeure dans la lutte contre les cancers du col de l’utérus et d’autres infections génitales ou ORL.

Le vaccin contre les méningocoques ACWY devient obligatoire en 2025 à 12 mois et entre 11 et 14 ans, en raison de l’émergence de souches plus virulentes dans cette tranche d’âge.

À l’âge adulte : les rappels, souvent oubliés mais indispensables

Beaucoup de personnes ignorent qu’à l’âge adulte, des rappels DTP (Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite) sont recommandés à 25 ans, 45 ans et 65 ans, puis tous les 10 ans. Le vaccin contre la coqueluche est également conseillé à 25 ans, et jusqu’à 39 ans pour les adultes non vaccinés. En cas de grossesse, une vaccination spécifique contre la coqueluche est recommandée dès le second trimestre, pour protéger le nourrisson à naître.

À partir de 65 ans : une attention particulière aux infections respiratoires et virales

Le système immunitaire vieillit et devient plus vulnérable. C’est pourquoi plusieurs vaccinations sont recommandées à partir de 65 ans :
• La grippe : chaque année pour les personnes à risque ou âgées de plus de 65 ans.
• Le zona : dès 65 ans, pour réduire le risque de réactivation du virus varicelle-zona.
• Le VRS (virus respiratoire syncytial) : chez les plus de 75 ans et les personnes de 65 ans atteintes de pathologies chroniques respiratoires.
• Le Covid-19 : vaccination annuelle conseillée à partir de 80 ans, en EHPAD, ou pour les personnes immunodéprimées.

Un calendrier évolutif et fondé sur la science

Le calendrier vaccinal est mis à jour chaque année par les autorités sanitaires. Il repose sur l’analyse épidémiologique, l’évolution des souches circulantes, et les recommandations des experts en santé publique. Il intègre désormais de nouveaux vaccins comme le Covid-19, le VRS, ou encore l’extension de la vaccination HPV aux garçons.

Une responsabilité partagée

Se vacciner, ce n’est pas seulement se protéger soi-même. C’est aussi protéger les plus vulnérables : les bébés trop jeunes pour être vaccinés, les personnes âgées, ou les malades chroniques. En respectant le calendrier vaccinal, chacun contribue à une immunité collective plus forte et à la prévention des épidémies.

Pour conclure

La vaccination est un engagement de santé tout au long de la vie. Ce n’est pas un acte isolé de l’enfance, mais un parcours régulier de prévention. Il est essentiel de rester informé, de vérifier ses rappels et de consulter son médecin traitant ou son pharmacien pour ne pas laisser de vide dans sa protection immunitaire.

4 Commentaires

  1. Pfizer conseille aux hommes vaccinés contre la COVID-19 de ne pas avoir de relations sexuelles avec des femmes en âge de procréer

    Selon le Dr Naomi Wolf dans le livre « Pfizer Papers », le géant pharmaceutique avertit les hommes vaccinés de ne pas avoir de relations sexuelles avec des femmes en âge de procréer, mais ils ne disent pas pourquoi, si ce n’est qu’ils ont apparemment peur d’une « exposition » au vaccin par le sperme.

    Le professeur Dr Arne Burkhardt, pathologiste allemand, a présenté un diaporama montrant que chez les hommes vaccinés, la protéine de pointe a complètement remplacé le sperme en raison du vaccin COVID.

    La société pharmaceutique savait dès 2020 que son vaccin à ARNm n’était ni sûr ni efficace. Les rapports détaillent les dommages causés par le vaccin à l’ensemble du corps humain, y compris au système reproducteur.

  2. administration Biden était au courant des risques cardiaques mortels liés aux vaccins contre la COVID et les a DÉLIBÉRÉMENT cachés au public.

    Le sénateur Ron Johnson vient de publier des documents faisant l’objet d’une assignation à comparaître, révélant une chronologie accablante de ce que les responsables savaient et quand.

    Pfizer et Moderna ont reçu des mises à jour privilégiées de la part du gouvernement, tandis que ceux qui ont averti le public ont été censurés.

    • 28 février 2021 : Les responsables de la santé israéliens ont alerté le CDC sur « de nombreux cas de myocardite, en particulier chez les jeunes », après les injections de Pfizer, seulement 2,5 mois après l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA).

    • Avril 2021 : les responsables du CDC ont examiné les signaux d’inflammation cardiaque à l’aide des données du DoD et d’Israël, mais n’ont émis aucun avertissement.

    • Fin avril : le VAERS a recensé 2 926 décès, dont près de la moitié dans les trois jours suivant l’injection. Johnson a déclaré : « Quelqu’un devrait se pencher sur la question. »

    • Mai 2021 : Les CDC ont envisagé une alerte sanitaire officielle, mais l’ont abandonnée. Ils ont plutôt publié des directives édulcorées et supprimé les recommandations aux médecins concernant la restriction de l’activité sportive en cas de myocardite.

    Ceux qui ont tiré la sonnette d’alarme ont été réduits au silence. Collins a balayé les inquiétudes en disant à Johnson : « Sénateur, des gens meurent. »

    Pendant ce temps, le bilan continuait d’augmenter.

    En seulement 6 mois :
    • 384 270 événements indésirables
    • 4 812 décès
    • 1 736 décès en 2 jours

    Ils ont vu le signal. Ils ont enterré l’avertissement. Et maintenant, ils ont du sang sur les mains.

Laisser un commentaire

Your email address will not be published.

Article précédent

Ce samedi à Saint-Pierre : un après-midi magique pour dire « Bonne fête maman ! »

Article suivant

Le Chaudron célèbre ses 60 ans ce samedi

Free Dom