Lors d’une conférence de presse à la Maison-Blanche, le président américain Donald Trump a suscité la controverse en déclarant à une journaliste française qu’il ne comprenait pas son accent, malgré sa « belle voix ». Cette remarque a été perçue par certains comme une forme de moquerie envers l’accent de la journaliste.
La journaliste, Sonia Dridi, correspondante pour la chaîne LCI, avait posé une question au président Trump concernant la situation à Gaza. Après avoir écouté sa question, le président a répondu : « C’est une belle voix et un bel accent, mais le seul problème, c’est que je ne comprends pas un mot de ce que vous dites. » Cette remarque a été interprétée par certains comme une tentative de dévaloriser l’accent de la journaliste, bien que d’autres aient suggéré qu’il s’agissait simplement d’une tentative d’humour.
Cette situation rappelle un incident similaire survenu en février 2025, lorsque le président Trump avait déclaré à une journaliste afghane qu’il ne comprenait pas son « bel accent », suscitant également des critiques. Ces remarques soulèvent des questions sur la manière dont les accents étrangers sont perçus et traités dans les interactions publiques.
Lors de cette conférence, une journaliste afghane a posé une question au président Trump concernant la situation en Afghanistan. Après avoir écouté sa question, le président a répondu : « C’est une belle voix et un bel accent, mais le seul problème, c’est que je ne comprends pas un mot de ce que vous dites. » Il a ensuite ajouté : « Mais je vous souhaite bonne chance, vivez en paix. » Cette remarque a été perçue par certains comme une forme de moquerie envers l’accent de la journaliste, bien que d’autres aient suggéré qu’il s’agissait simplement d’une tentative d’humour.
Cet incident a suscité des réactions partagées, certains le qualifiant de condescendant, tandis que d’autres le considéraient comme une tentative d’humour. Il a également ravivé des discussions sur la manière dont les accents étrangers sont perçus et traités dans les interactions publiques.


