Bonne nouvelle pour les territoires ultramarins : l’Assemblée nationale a adopté la suppression du “coup de rabot” prévu sur le dispositif LODEOM dans le projet de loi de finances 2026. Le gouvernement renonce ainsi à une économie de près de 350 millions d’euros initialement inscrite dans le texte.
Cette décision, saluée par les députés ultramarins socialistes, dont Karine Lebon, est le fruit d’un combat engagé depuis plusieurs semaines. Elle marque une victoire pour les TPE et PME des Outre-mer, dans un contexte économique déjà fragilisé par une hausse des défaillances d’entreprises (+15,5 % à La Réunion).
Les parlementaires appellent néanmoins à poursuivre le travail de concertation, afin que toute future réforme du dispositif tienne compte des réalités locales et soutienne durablement le développement économique des territoires ultramarins.
Philippe Naillet, député de La Réunion : Victoire pour les Outre-mer et La Réunion : pour le moment la LODEOM préservée dans le budget !
Aujourd’hui en séance publique, j’ai voté la suppression du coup de rabot prévu sur le dispositif LODEOM dans le projet de loi de finances 2026. Bonne nouvelle : celle-ci a été adoptée par l’Assemblée nationale. Le gouvernement a ainsi déclaré renoncer à l’économie de près de 350 millions d’euros initialement inscrite dans le texte.
Cette décision, fruit d’un combat déterminé mené par les députés ultramarins socialistes, qui avaient obtenu dès le 15 octobre une réponse du Premier ministre reconnaissant les limites de la réforme envisagée, marque une étape cruciale dans la défense des outils indispensables au développement de nos régions.
Les fragilités structurelles de nos économies rendent les dispositifs comme la LODEOM indispensables pour soutenir notre tissu économique composé en immense majorité de TPE et de PME, et ce alors que les défaillances d’entreprises atteignent désormais des niveaux records (entre juin 2024 et juin 2025, 2 605 défaillances d’entreprises en Outre-mer dont 1 098 défaillances à La Réunion soit +15,5 % en un an dans
des secteurs comme la construction, la restauration, ou bien encore le commerce).
Ce coup de rabot avait déjà été rejeté en commission et le débat de ce jour est venu confirmer l’opposition de la représentation nationale à toute réforme précipitée.
Pour autant, le travail ne s’arrête pas là et je reste mobilisé pour que les études d’impact promises par le Premier ministre soient transmises dans les meilleurs délais. Ces études sont essentielles pour évaluer de manière approfondie les conséquences des réformes envisagées. Si une simplification du dispositif LODEOM peut être envisagée elle ne pourra se construire que dans la concertation. Cette concertation
devra être menée en lien étroit avec les parlementaires ultramarins et les acteurs économiques des territoires concernés, et devra garantir que toute évolution des dispositifs réponde aux besoins réels des économies locales.
Alors que le projet de loi de finances 2026 va poursuivre prochainement son parcours au Sénat, je resterai particulièrement vigilant pour que les engagements pris soient respectés et que nos territoires frappés par des crises successives ne soient pas de simples variables d’ajustement des politiques budgétaires.
Karine Lebon, députée de La Réunion : très bonne nouvelle pour La Réunion



la pesasse se réveille.
elle a peur
On saura qui voter pour les prochaines élections. Vivement le départ de Melchior à Saint-Paul !!
Le vraiment changement commencera en 2026
Et qu’il ramène toute sa clique avec lui !
Inch’allah!
Inch allllaaah = socialiste et musulman ? Vrai changement avec depart lfi
Mm BELLO ET Mr MELCHIOR I SAVA PENCHE AZOT ENCORE PLUS RAPIDEMENT ET PLUS HAUT(POU Fé ENCULE A ZOT PLUS PROFOND )PAR LE GOUVERNEMENT,ET COMBIENS DE CONCESSION POU NOUS REUNIONNAIS??????