À Saint-Denis, un vendeur de samoussas et bonbons piments voit sa petite activité tourner au cauchemar.
Juste en face de son commerce, un local inoccupé et laissé à l’abandon par la SHLMR dégage depuis des semaines des odeurs insoutenables. Résultat : les clients se font rares, certains rebroussent même chemin avant d’atteindre son étal.
Malgré ses appels répétés au bailleur social, aucune réponse, aucune intervention. Excédé et inquiet pour la survie de son commerce, il pousse un coup de gueule sur notre antenne.


