La CIREST tient à rétablir les faits à la suite des déclarations publiques du Maire de Saint-André et de son opposant Jean-Marie Virapoulée concernant les travaux de réfection des réseaux sur l’avenue Île de France, et en particulier le choix de ne pas recourir aux fonds européens.
Par courrier en date du 29 janvier 2025, la CIREST a confirmé sa volonté de réaliser les travaux de renouvellement des réseaux d’eau potable et d’assainissement sur l’avenue Île de France.
Conformément à ses procédures internes et aux règles de bonne gestion, cette opération nécessite en amont :
Une confirmation des linéaires à reprendre en fonction du DCE initial ;
L’établissement d’un Détail Quantitatif Estimatif (DQE) et des coûts associés ;
Un rétroplanning précis des interventions.
Ces éléments techniques doivent être produits par le titulaire de l’accord-cadre actuel (SBTPCSOGEA), mobilisable seulement après la fin de la trêve du BTP, soit le 20 janvier 2025. Or, la demande de la commune est intervenue la veille de cette période de congés, le 18 décembre
2024, ce qui n’a pas permis de répondre dans les délais exigés par la commune.
La CIREST rappelle que toute opération d’ampleur sur les réseaux doit s’inscrire dans une logique de soutenabilité budgétaire et de rationalisation de la dépense publique. La collectivité avait ainsi intégré une enveloppe budgétaire pour ces travaux dans son budget primitif 2025.
Concernant le financement, la CIREST avait envisagé de solliciter des fonds de l’État (BOB 123) et une subvention de l’Office de l’Eau (OLE), plus avantageux financièrement que le FEDER. En effet, les fonds européens (FEDER) ne permettent de financer que l’eau potable (AEP) et non l’assainissement (EU), et ne peuvent être cumulés avec les subventions nationales. Ce choix de financement est donc un arbitrage technique et stratégique, fondé sur la maximisation des ressources disponibles.
La CIREST regrette que la commune ait décidé unilatéralement de lancer les travaux sur l’avenue Île de France sans attendre le retour de ses services, ni respecter les engagements de coordination précédemment actés. Ce choix, fait sans concertation, génère un surcoût global
évitable pour la commune de Saint-André et compromet l’optimisation des interventions.
La CIREST réaffirme son engagement à travailler en bonne intelligence avec les communes du territoire pour améliorer les services à la population, dans un souci permanent de qualité, d’efficacité et de responsabilité financière. Elle appelle à une coopération loyale, concertée et respectueuse des calendriers et des contraintes techniques partagées.



Qu’est ce qu’on en a marre de Selly qui gère l’argent des impôts là Cirest comme une caisse au trésor pour sa promotion politique. Vivement qu’il dégage et qu’il retourne au tribunal ! !
Jean marie virapoullé complice de la politique sale de selly ! Il a voté pour l’augmentation de l’eau à St André !
Selly arrète ramasse mentèr, ou veut pas que Saint-André y avance. Ta stratégie, depuis 2020, est de défavoriser notre ville pour donner « un coup de pouce » à ton ami virapoullé. Malgré ton inaction envers Saint-André, le Maire Joé BEDIER continue d’avancer avec d’autres moyens. Les virapoullé va amène à ou dann précipice en 2026.
Je dirai même plus que Selly admet l’inefficacité de ses services. C’est de l’amateurisme sur les fonds européens! A force de vouloir mettre les bâtons dans les roues de Bédier, il se tire une balle dans le pied, lui-même!