Face aux conséquences historiques du passage du cyclone Garance, la Ville de Saint-Denis a subi d’importants dégâts. Les impacts constatés dans plusieurs quartiers rappellent l’urgence d’agir pour une meilleure anticipation des risques climatiques pour mieux protéger la population.
Le débordement des cours d’eau est l’une des principales causes des sinistres sur notre territoire : des habitations ont été détruites, des routes se sont effondrées et des infrastructures ont été fragilisées. C’est pourquoi, La Ville demande un plan de d’aménagement et de sécurisation des cours d’eau pour limiter l’impact de telles catastrophes lorsqu’elles se produiront.
Au-delà de cela, il est impératif de repenser la stratégie d’aménagement du territoire.
Concevoir un urbanisme prenant mieux en compte notre environnement tropical, volcanique et insulaire sera le défi à relever.
Depuis la levée de l’alerte rouge, la Ville de Saint-Denis et ses partenaires poursuivent leurs efforts pour remettre en état les infrastructures impactées et accompagner les sinistré.e.s. Ces efforts doivent s’inscrire dans une action plus large : la population réunionnaise n’est pas suffisamment protégée face à ces événements climatiques extrêmes.
La maire de Saint-Denis remercie le ministre des Outre-mer, Manuel Valls, pour le déclenchement rapide de l’état de catastrophe naturelle, qui permettra de concrétiser le soutien aux familles touchées par le météore. Il est nécessaire que l’Etat déploie dès maintenant des dispositifs d’accompagnement des victimes : assistance psychologique, accès au droit, …
La Ville demande à l’État d’intensifier son engagement en matière de prévention des risques avec, notamment, des financements publics ciblés sur la protection des populations, à travers des fonds européens, nationaux et locaux.
Saint-Denis, Ville Capitale, ne peut agir seule face à ces défis. Elle sait pouvoir compter sur l’engagement indispensable de l’Etat pour garantir la sécurité des habitant.e.s.






Oté ti macrelle, arrête fait l’hypocrisie avec de moune devant caméra , ou connaît fait rien ça même fait remarque à ou devant caméra
On faisait comment avant, quand il n’y avait pas des immeubles, des bâtiments partout ?
Nos élus les principaux responsables,le laxisme de la délivrance des permis de construire,par douciide clientèle électorale,tant que ces élus ne répondent pas pénalement de leurs cela perduras.
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i fo plus faires les maisons dans la rivière. tôt ou tard la rivière I reprendre li lhabituer passe la li
toutes les kaz situées en zones inondables ou non constructibles à St Denis ou ailleurs devront être détruites .
aucune exception à la règle devant être admises . les occupants devront bien sûr être logé en priorité dans les logements souciants devront leur ville respectives .
même les logements de la montagne des gros zozos et autres doivent être détruites comme à Mayotte in d k sage immédiat…après on avisera . il faut les protéger avant qu un autre cyclone les surprennent .