À l’époque, pas de subvention, pas de diplôme. Juste la coupe canne, les bitassions, et la débrouille. On vivait du sol, avec les mains, pas avec des papiers.
Aujourd’hui, les aides tombent, les dossiers s’empilent… mais la terre, elle, reste souvent seule.
Un auditeur nostalgique de cette époque où l’effort valait salaire.


