Face à la poursuite de la guerre en Ukraine et à la détermination affichée du Kremlin, la France exhorte ses partenaires européens à adopter un nouveau train de mesures économiques particulièrement sévères contre la Russie. Mardi 14 mai, Paris a plaidé pour des sanctions qualifiées en interne de « dévastatrices », dans l’objectif de toucher directement les ressorts économiques qui soutiennent l’effort de guerre russe.
La diplomatie française ambitionne un quinzième paquet de sanctions de l’Union européenne, ciblant des secteurs cruciaux comme l’énergie, la finance, et les technologies sensibles. La stratégie vise à réduire drastiquement la capacité de Moscou à financer son armée et à accéder à des équipements stratégiques. Il s’agirait, selon plusieurs sources, de restreindre encore davantage l’accès de la Russie au système financier international, tout en renforçant les interdictions sur les exportations vers son territoire.
Le message porté par Paris est clair : la guerre ne pourra être freinée qu’en exerçant une pression maximale sur l’économie russe. Les autorités françaises insistent sur la nécessité de frapper fort, estimant qu’un simple durcissement progressif serait inefficace. L’objectif est désormais de priver la Russie de ses moyens logistiques et technologiques, en misant sur un isolement économique renforcé.
Toutefois, cette volonté d’escalade économique rencontre des réticences dans certaines capitales européennes. Des États membres s’inquiètent des possibles répercussions sur leurs propres économies, notamment sur le coût de l’énergie et les chaînes d’approvisionnement. La négociation autour de ces nouvelles sanctions promet donc d’être tendue.
Cette initiative s’inscrit dans un contexte militaire qui reste particulièrement tendu sur le terrain. Alors que la ligne de front en Ukraine stagne, les attaques russes contre les infrastructures civiles se multiplient. Kiev continue d’appeler à une mobilisation diplomatique et économique sans relâche. La France, en poussant pour un durcissement des sanctions, espère non seulement affaiblir durablement la machine de guerre russe, mais aussi affirmer un leadership européen sur le dossier.



Tout cela est d’un RIDICULE…vos sanctions selon Bruno LEMAIRE devaient mettre la RUSSIE à genoux…RIEN NADA, 0 résultats.
La Russie a construit un pipeline géant vers la Chine pour acheter l’un des gaz les moins chers du monde…et tuer encore lus vos entreprises.
Et tout ça vient des Enarques…
On comprends pourquoi on coule littéralement.