Trois ans après le meurtre de Jean-Yves Grondin, tué par sa propre fille à Saint-Joseph, sa famille est dévastée.
Mardi 28 octobre, ils ont assisté à l’audience sur l’irresponsabilité pénale de l’accusée, qui souffre d’un trouble bipolaire non traité. Pour les proches de la victime, il est impossible de croire à l’abolition de son discernement.
Aujourd’hui, la famille nous appelle pour dénoncer le fait que « l’auteure présumée des faits soit en liberté, se pavane dans les rues sans remords. »
Un sentiment d’injustice intense, et une douleur qui ne se calme pas, comme ils l’expliquent sur les ondes de Free Dom :
Le délibéré concernant la responsabilité pénale de l’auteure présumée sera rendu le 4 Novembre prochain


