Saint-Paul se prépare à accueillir le Nouvel An Gadiamb avec un dispositif renforcé. À l’approche du 31 décembre, la Ville et la gendarmerie anticipent une forte affluence sur les plages du littoral ouest. Sécurité, circulation, sanitaire et environnement : les autorités détaillent les mesures mises en place pour encadrer les festivités. Raphaël Gauvin, notre reporter, était sur place.
À l’approche du 31 décembre, la Ville de Saint-Paul et la gendarmerie anticipent une forte affluence sur les plages du littoral ouest. Comme chaque année, un dispositif spécifique est mis en place pour encadrer la fête, sécuriser les déplacements et limiter les impacts sanitaires et environnementaux.
« On a un phénomène d’affluence forte qui nécessite des mesures importantes, non pas pour dissuader, mais pour encadrer la sécurité en général, la circulation, la santé et la propreté », explique le général de gendarmerie.
L’organisation repose sur un travail conjoint entre l’État, la gendarmerie et la commune.
Une présence visible du 31 décembre, « dès l’après-midi »
Le dispositif est préparé en amont, avec une phase de prévention dès l’après-midi du 31 décembre, notamment autour du respect des arrêtés municipaux. Le soir et durant la nuit, les forces de l’ordre seront déployées sur plusieurs niveaux : patrouilles à pied sur les plages, équipes mobiles à l’arrière du littoral et motocyclistes chargés des contrôles routiers.
« Il faut garantir la sécurité des personnes sur les plages, mais aussi lorsqu’elles s’y rendent et en repartent », souligne le général. Environ 120 gendarmes seront mobilisés sur le seul secteur de Saint-Paul, avec des contrôles routiers maintenus jusque très tard dans la nuit.
Alcool et stupéfiants : contrôles renforcés
Les contrôles d’alcoolémie et de stupéfiants seront massifs. Des équipes cynophiles et des motards seront engagés. Le message est explicite :
« L’objectif que nous poursuivons, c’est de faire en sorte que vous vous fassiez attraper »,
prévient le général à l’adresse de ceux qui envisageraient de prendre le volant après avoir consommé.
Circulation, sanitaires et environnement
Du côté de la commune, les mesures habituelles sont reconduites. Dès midi le 31 décembre, des couloirs de circulation seront réservés aux secours. Des sanitaires et des poubelles supplémentaires seront installés sur les plages les plus fréquentées.
« L’objectif n’est pas d’interdire, mais d’accompagner, avec la sécurité, le sanitaire et le volet environnemental »,
rappelle le maire de Saint-Paul, Emmanuel Séraphin. Un travail de fond est mené toute l’année sur les dunes et les sous-bois de l’Hermitage, que la municipalité souhaite protéger pendant les festivités.
Les feux dans le sable pour les barbecues sont interdits, tout comme l’utilisation du gaz sur les plages, en raison de la densité de population attendue. Des médiateurs seront présents tout l’après-midi pour rappeler les consignes.
Dormir sur la plage autorisé la nuit du 31
Exception notable : le bivouac est autorisé la nuit du 31 décembre.
« L’idée, c’est d’éviter que des personnes alcoolisées reprennent la route », explique le maire. « Mieux vaut passer la nuit sur place que perdre son permis. »
Des patrouilles seront néanmoins maintenues toute la nuit, avec la possibilité d’adapter le dispositif en temps réel en cas de regroupements imprévus.
Sécurité sanitaire et respect de la loi
Des postes de secours supplémentaires seront déployés, notamment à Trou d’Eau, secteur particulièrement fréquenté. La commune anticipe également l’application de la loi interdisant de fumer sur les plages. Après une phase de sensibilisation, des verbalisations pourront être dressées en cas d’infraction.
« La loi s’applique pleinement », rappelle le maire.
Objectif affiché par les autorités : permettre aux Réunionnais et aux visiteurs de fêter le passage à la nouvelle année dans de bonnes conditions, sans compromettre la sécurité, l’environnement et la tranquillité du littoral.





Ils font caca ou ! Et il pisse ou ! Quand on regarde les toilettes des plages de st gilles , on a vite compris que seraphe et consorts ne mettent jamais les pieds ! Bande de brel !
Les chevaux de la gendarmerie sont nourris par la collectivité seraphe ? Enfin quand on regarde les photos c’est bien wayne sur son cheval il manque le vautour au coeur du filaos
Les plages c’est pour entendre le bruit des vagues et jouer avec le sable et profiter de se mettre dans cette mer salée, a l’époque nous fêtons le réveillon chez soi ou chez la famille ! A ce jour avec les envahisseurs accompagnés bêtement par une population locale explose !ou ailleurs ils ne pourront jamais le faire ! A Seychelles, même a Maurice ce spectacle de dingos n’existe pas ! Et le serafin nettoie, pardon pas lui mais ces boyes ! Corraux abîmés, mégots fanés , je suis entièrement contre de détruire un littoral, juste pour satisfaire ces fantasmes de fêtes ! En 2026 il faut que cela s’arrête , même si on vit chez un bailleur corrompu ou je peux comprendre que vous avez que 40 mètre carré a vibré !
C est les contribuables st Paulois qui payent la nourriture l entretien et le propriétaire des chevaux.
Sans consulter le conseil municipal le budget a été débloqué en douce.
Les gendarmes c est l état qui gère.
Les municipales arrivent , réfléchissont un peu cher électeurs