Un nouvel épisode de boycott au sein du transport aérien européen a éclaté récemment : certains employés de l’aéroport de Bruxelles ont refusé de prendre en charge les bagages destinés à un vol à destination de Tel Aviv.
La reprise des vols de Brussels Airlines vers Tel Aviv, après plusieurs mois d’interruption, a été marquée par un boycott organisé par une partie du personnel de manutention des bagages. Ce mouvement, soutenu par le syndicat CNE (via sa branche flamande ACV Puls), a provoqué une forte perturbation lors de l’enregistrement du vol concerné. Aucune signature n’a été apposée par les superviseurs pour autoriser le départ de l’appareil, un rôle généralement essentiel dans cette procédure – ce sont donc les responsables de l’entreprise qui ont dû intervenir pour régulariser la situation.
Les syndicats justifient ce refus comme un acte moral face aux événements en cours en Israël et dans les Territoires palestiniens. Plus largement, des revendications similaires se sont multipliées récemment dans plusieurs pays européens :
-
À Paris-Charles-de-Gaulle, plusieurs syndicats (notamment SUD Aérien et la CGT Air France) ont exprimé leur refus de participer au transport de matériel militaire à destination d’Israël, estimant qu’il contribuerait à un conflit destructeur.
-
En Belgique, les manutentionnaires de la société Alyzia (en charge de la logistique bagages) ont également refusé de collaborer avec les compagnies aériennes israéliennes, appelant à une suspension des vols tant que le conflit perdure.



Bravo ti bana allé à la nage
Zot na conscients du conflit mais en koué y fait paye à zot ce que cet lé à la tête du pays la pou fait ? Un peu comme si na un tas créole la pou fait des connerie un peu partout na que le mot réunionnais su le boute la langue et sous prétexte que ou lé un créole ou aussi ou trinque. Ou serait pas content. Là aussi lé pareil. Sinon faut pas jette la pierre à toute détraqués que dan le monde nana jusqu’à maintenant.