Le quartier de La Salette, à Saint-Leu, a été le théâtre d’un moment chargé d’émotion et de tendresse ce week-end. Martin Bernot, 86 ans, et son épouse Mauricia, née Banor, 82 ans, ont célébré leurs noces de diamant, entourés de leur grande famille, de leurs amis de toujours… et même des élus locaux venus rendre hommage à ce couple exemplaire.
Bruno Domen, maire de Saint-Leu, est venu en personne leur présenter ses félicitations samedi, suivi le lendemain par l’adjointe Marie-Claude Anamalé et le conseiller municipal Bruno Lauret. Tous ont tenu à saluer l’amour, la longévité et l’engagement de ce couple profondément ancré dans l’histoire du quartier.
Leur rencontre, digne d’un roman d’époque, remonte à ces années où les cars « courant d’air » sillonnaient encore les routes entre les Hauts et les Bas de Saint-Leu. Elle, jeune fille du centre-ville, lui, garçon de Grand Fond. « C’est entre deux bal-bazars que nos chemins se sont croisés », raconte Mauricia, avec un sourire complice et un regard pétillant de souvenirs. Ce fut le début d’une belle histoire d’amour, forgée dans la simplicité, les rires et les valses de ces bals populaires d’antan.
Très investie dans la vie paroissiale, Mauricia se souvient avoir chanté pour la première fois à l’église à l’âge de 15 ans. Le couple a longtemps habité rue Haute, à quelques pas seulement du sanctuaire de Notre-Dame de La Salette, un lieu cher à leur cœur et témoin silencieux de leurs prières et de leurs joies.
Dans leur vie professionnelle, Martin a travaillé comme coffreur-maçon, bâtissant les murs de nombreuses maisons de la région, pendant que Mauricia, fidèle au comptoir de la pharmacie du centre-ville, s’occupait de ses clients avec le même soin qu’elle portait à sa propre famille.
Aujourd’hui, leur foyer compte enfants, petits-enfants et même arrière-petits-enfants, tous réunis pour célébrer cet amour durable, fait de patience, de complicité et de respect. Un exemple inspirant, à l’heure où le temps semble filer toujours plus vite.







vieux con touer même, avant c’était pour le meilleur et pour le pire plus du pire et la séparation y existe pas les jeunes de maintenant y veux que le meilleur
bande de vieux cons
Elle lavé de l’or dans sa culotté que du jus de merde oui
il faut être fou po vivre 60 ans avec la même femme comment elle l’été Bon don