« Le Grand Meeting du Changement », dit-il, qui se veut incarner « unenouvelle génération en marche pour Saint-Benoît ». Aussi, pour son premier « grand meeting », qui se déroulera, le samedi 29 novembre 2025 à partir de 17h (vu l’heure, ça fait plutôt boum), route de l’olympe à Saint-Benoît, le candidat explique que « cet événement sera placé sous le signe de la jeunesse, de l’innovation et de l’unité »,  et « qu’il marque une nouvelle étape » dans sa campagne. Christopher Nembly, qui se voit comme « le symbole d’une génération prête à transformer la politique locale ».
« Nous voulons redonner envie aux gens d’y croire. Faire de la politique autrement : dans la joie, la transparence et la proximité. Ce meeting, c’est le reflet d’une nouvelle ère pour Saint-Benoît », déclare-t-il.  « Un meeting nouvelle génération, loin des codes politiques traditionnels, un meeting qui se veut festif et participatif avec ambiance boîte de nuit et show lumineux; Piste de danse géante, Performances d’artistes réunionnais et discours de l’équipe et présentation des grands axes du programme ». Tout un programme !

« L’objectif : montrer qu’une campagne politique peut rassembler et inspirer, tout en donnant la parole à celles et ceux qui veulent voir leur ville changer en profondeur. Une campagne indépendante et citoyenne », souligne encore Christopher Nembly, qui se définit comme un candidat « sans étiquette et sans parti »  et avec une équipe « qui mène une campagne 100 % citoyenne, financée par la mobilisation locale et la solidarité des habitants. Ils entendent prouver qu’il est possible de construire une alternative politique forte sans dépendre des grands appareils. Nous croyons au pouvoir du collectif. Ce n’est pas une campagne de
promesses, mais une campagne de solutions et d’énergie».

Christopher Nembly qui, avant même l’élection, a également déjà formé une partie de son conseil municipal et a déjà nommé sa 1ère adjointe et certains autres de ses adjoints (Voir Ti Kozman d’Yves Mont-Rouge). Question : est-ce que toutes celles et ceux qui iront se défouler sur la dance-floor et, sans doute, « cocktéliser » le 29 novembre, prendront le temps d’accomplir leur devoir civique les 15 et 22 mars prochains ? Est-ce que cette nouvelle génération sera dans le bon « mood » le jour du scrutin des municipales ? A voir !