À la veille de la rentrée scolaire, le collectif « Ongojou Uni » a pris une décision radicale : fermer les deux écoles maternelle et primaire du village. En cause, des conditions jugées dangereuses et indignes pour accueillir les enfants.
Plusieurs mois après le passage de la tempête Chido, les dégâts dans les établissements scolaires n’ont toujours pas été réparés. Certaines salles de classe n’ont même pas de vitres, et les sanitaires sont qualifiés d’insalubres par les parents d’élèves. « On ne peut pas envoyer nos enfants dans des écoles qui ressemblent à des ruines », dénonce un membre du collectif.
Le collectif affirme avoir interpellé la municipalité à plusieurs reprises, sans obtenir de réponse satisfaisante ni de calendrier clair pour la fin des travaux. « On nous promet, on nous rassure, mais sur le terrain, rien ne bouge », explique une mère de famille engagée dans le mouvement.



En fait, est ce que travail su toute l’ile y avance ? Parce y en parle pu dan les informations. Faudrait mettre l’accent sur la sécurité c’est une des priorités. Un peu comme si la Reunion té reste au stade cyclone zéni…