Une jeune voyageuse néo-zélandaise, connue sous le nom de Molly sur Instagram (compte « molsgonewild »), a partagé une vidéo très troublante de son road-trip en solo au Sri Lanka. Alors qu’elle roulait en tuk‑tuk à l’est de l’île, un homme l’a suivie à scooter. Il l’a abordée, lui a demandé « have sex ? », puis a exposé ses organes génitaux après qu’elle a refusé.
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Un signalement et une arrestation rapide
Suite à la publication de la vidéo, Molly a signalé l’incident à la police touristique sri-lankaise. Grâce aux images diffusées sur les réseaux, les autorités ont lancé une enquête et ont localisé un homme de 25 ans, qui avait tenté de changer d’apparence et d’adresse pour échapper à l’identification. Il a été arrêté quelques jours plus tard. « Il a nui à la réputation du pays ».
Une réponse saluée
Dans ses publications, la voyageuse a remercié les policiers sri-lankais pour leur réaction « incroyable ». Elle a aussi tenu à souligner que ce geste isolé ne reflète pas l’ensemble du pays : selon elle, le Sri Lanka reste « un endroit incroyable » où elle s’était sentie en sécurité pendant le reste de son périple.
Une prise de parole importante
Molly a surtout voulu lancer un message clair : les femmes doivent pouvoir voyager seules sans être tenues pour responsables des actes d’agressivité ou d’indécence. Dans ses vidéos, elle dénonce des « victim‑blaming » (culpabilisation de la victime) — y compris venant d’autres femmes — et rappelle que le problème ne vient pas des femmes, mais de certaines personnes qui ne respectent pas les autres.
Elle déclare que cette expérience, bien que choquante, doit servir à alimenter une vraie discussion sur la sécurité des femmes en voyage, sur les violences sexistes, et sur le droit à la liberté.
Un débat plus large sur les voyages solo féminins
Cet incident relance une question essentielle : peut-on réellement garantir la sécurité des voyageuses solo ? Les réseaux sociaux, par leur portée, offrent un moyen puissant de rendre visibles des situations souvent tus. Mais ils exposent aussi les victimes à la critique. Molly l’a constaté : certains ont remis en cause son « aptitude à survivre » seule, voire ont suggéré qu’elle ne devrait pas voyager sans un homme.
Pour elle, cette affaire montre qu’il est urgent d’éduquer sur le respect, le consentement, la responsabilité — partout dans le monde.
Malgré ce traumatisme, la voyageuse ne veut pas que l’on stigmatise le Sri Lanka ni le voyage solo féminin. Elle insiste : un incident ne doit pas effacer toute une expérience, ni condamner un pays ni son peuple. Elle appelle à poursuivre la conversation, à sensibiliser, mais aussi à célébrer les bons côtés du voyage : la découverte, les rencontres, la liberté.



Aller en Inde et ou sera violer a chaque coin de rue, c est un pays cautionné par un gouvernement maudit comme ce modi qui dirige ce pays ou le viol est monnaie courante
Oui c’est pas normal que je puisse pas profiter des sous de papa pour aller visiter Kaboul en string et minijupe. Pourquoi ils sont pas comme nous ?
Bof bof bof…. en France beaucoup de femmes blondes se font harcelées en se faisant traiter de kabyle mains baladeuses et tout le reste. Nullement besoin d’aller à l’autre bout du monde. Ce côté où le respect n’est plus garant d’une société harmonieuse tout devient sujet au sexe. Plus de maître d’école en petite section pour les petites filles. Nous en sommes à là.
tout à fait !!!
ces européens se croient propriétaires de la terre…