Voici un article synthétique basé sur les documents et la carte que vous avez fournis :Du 11 avril au 7 mai 2025, l’île de La Réunion participe activement à une vaste opération d’extinction de l’éclairage public dans le cadre du programme « Les Jours de la Nuit », porté par le Parc national. Objectif : protéger les espèces sensibles à la pollution lumineuse, notamment les pétrels juvéniles, oiseaux marins endémiques gravement menacés par les lumières artificielles.
Une extinction stratégique sur tout le territoire
De nombreuses communes — des grandes villes comme Saint-Denis ou Saint-Pierre jusqu’aux petites communes comme Cilaos, Trois-Bassins ou Saint-Philippe — ont programmé l’extinction partielle ou totale de leur éclairage nocturne. Certaines zones sensibles, comme les corridors d’envol des pétrels, voient leur éclairage complètement coupé, en particulier les sites sportifs ou les axes routiers non essentiels .
L’environnement nocturne : un enjeu global
Ce programme ne se limite pas à la protection des oiseaux. Il s’inscrit dans une démarche plus large de sobriété lumineuse, qui vise à réduire les impacts de la lumière artificielle sur les écosystèmes, la santé humaine et la qualité du ciel nocturne. En modélisant la pression lumineuse sur l’ensemble du territoire (voir carte ci-dessus), le Parc national identifie les zones les plus affectées et les corridors naturels à préserver .
Une carte pour mieux comprendre les enjeux
La carte de pression lumineuse en extrémité de nuit révèle que les zones urbaines comme Le Port, Saint-Denis ou Saint-Pierre exercent une forte pression lumineuse (zones rouges), tandis que des régions comme le sud-est de l’île ou les hauts de Cilaos conservent encore des poches d’obscurité précieuse pour la faune (zones bleues à violettes). Ces contrastes permettent de cibler les efforts et d’agir plus efficacement .
Des actions concrètes à Cilaos
Suite à un pic d’échouages de pétrels en 2024, un plan d’action spécifique a été lancé à Cilaos. Un recensement cartographique des éclairages publics et privés a permis d’identifier des « points chauds lumineux » problématiques. Le Parc national accompagne désormais la commune dans l’extinction ciblée et la sensibilisation des habitants .
Un appel aux acteurs privés
Si l’éclairage public est en première ligne, le secteur privé représente 40 % de la pollution lumineuse. Le Parc national propose un accompagnement personnalisé aux entreprises volontaires, notamment dans les zones industrielles comme l’Ecoparc du Port. Une démarche qui s’inscrit dans la durée, bien au-delà de la période d’extinction .




Mi Koné in pe lé content déjà zot va entendre la perd ci la perd ça
et en attendant les accidents sur la route, les pietons ecrases car pas de visibilité la nuit en ville (n’en parlons pas des chat et chien)
bravo préparer le bilan .. tout ca pour deux trois oiseaux qu’on transformerait bien en massalé
TOUJOURS UN BAND D’OMOUNE QUI SORTE DE LA METROPOLE (ET SURTOUT LA POIN DYPLOME OU COmPETENCES) POU DIS A NOUS REUNIONNAIS COSSA I FAUT FAIRE POUR LES PETRELES OU AUTRES UN PEU COMME L’ARS çà ET BOUT DU COMPTE NOUS RETROUVE A NOUS AVEC D’OMOUNE I MORT OU PETRELE I MORT QUAND MéME COSSA ZOT I SERVE MI DEMANDE A MOIN????
Le parc ? C’est pas la Seor qui s’occupe de ça ?