Un nouveau drame a été évité de peu ce week-end sur la RN1, à la sortie de la commune du Port. Dans la nuit du 10 au 11 mai, un automobiliste circulant sous le pont du Cap Sacré-Cœur a vu son véhicule violemment frappé par des galets lancés depuis l’ouvrage. Un acte d’une extrême gravité, dénoncé avec force par Firose Gador, conseillère municipale du Port, qui alerte publiquement les autorités sur les risques mortels de ces comportements criminels.
Ce nouvel incident ravive un souvenir tragique : la mort de Kenya, jeune mère de famille, survenue en 2023 dans des circonstances similaires, qui avait déjà provoqué une vive émotion et une mobilisation locale. Deux ans plus tard, rien n’a vraiment changé, et les habitants s’interrogent : faut-il attendre un autre drame pour agir ?
Une série de propositions pour mettre fin à l’insécurité
Face à ce constat, Firose Gador propose cinq mesures concrètes, qu’elle souhaite voir discutées sans délai avec les autorités et les acteurs concernés :
1. Installation de caméras de vidéosurveillance sur et autour du pont, pour dissuader les actes malveillants et faciliter l’identification des auteurs.
2. Renforcement de la présence policière, notamment la nuit et les week-ends, aux abords du rond-point du Cap Sacré-Cœur.
3. Sécurisation physique du pont, avec des filets anti-projection, barrières ou vitres grillagées, à l’instar d’autres infrastructures sensibles.
4. Restrictions d’accès aux piétons pendant les heures à risque, couplées à des patrouilles régulières.
5. Campagnes de sensibilisation auprès des jeunes, notamment dans les établissements scolaires, sur les conséquences humaines et judiciaires de ces actes.
Un appel à la mobilisation collective
« La RN1 ne doit plus être un lieu de peur ou de deuil », déclare Firose Gador, qui en appelle à une mobilisation immédiate de l’État, des collectivités, des forces de l’ordre et de la société civile pour rétablir un climat de sécurité et de confiance sur cet axe vital pour l’île.
Pour la conseillère municipale, l’inaction n’est plus une option. Elle insiste sur l’urgence d’agir collectivement et rapidement, pour protéger les usagers de la route et prévenir de nouveaux drames.



Faut remettre le service militaire à 12mois comme longtemps, et faire l’éducation populaire.un triste jeunesses que nous avons.
MI PENSE QUE LA PLU DE SENSIBILISATIONS Là I FAUT ENLEVE AUX PARENTS LES ALLOCATIONS ET RENVOYE A ZOT A MAYOTTE OU AUX COMMORES C’EST TOUT!!!! EST CE QUE LE GOUVERNEMENT OU LE PREFET DE LA REUNION NA ASSEZ DE COUILLES POU FAIRE çà?????
Chère dame, l’urgence c’est surtout que la justice soit plus sévère avec ces énergumènes qui pourri la vie des bon citoyens qui travaillent pour essayer d’avoir une vie digne et respectable, que font des mineurs à 4hoo du matin dehors sur un pont, quand nos politiciens seront moin hypocrites à forces de faire rentrer des gens d’autre iles juste pour être élu peut-être que cette situation à la Réunion changera, on traite le mal à la source mais on ne pas des pansements, on est saturés sur notre petite ile et on continu à laisser rentrer jusqu’à quand, la où je jubilerai et il suffit d’analyser et en tirer les conclusions se sera quand il y aura des maires Mahorais qui vont prendre votre place à méditer
nous avons un pays de merde , car nos dirigeants font de la merde:
« Pourquoi cette polémique a-t-elle pu naître ?
Nous avons ici les plus hautes autorités politiques de la France, du Royaume-Uni et de l’Allemagne, se rendant en terrain de guerre avec une puissance nucléaire, à quelques centaines de kilomètres de la frontière.
Ce moment est censé être celui de la solennité, de la hauteur, de la gravité.
Plus d’un million de personnes sont mortes et le destin de centaines de millions d’autres sont menacés par ces êtres, dont le déficit de légitimité, en chacun de leur pays, est criant.
Leur tenue, leurs rires, la banalité de leurs propos et de leurs comportements font contraste.
Ils semblent dénoter la jouissance du pouvoir et de l’instant.
Cette façon de se montrer, débraillés, hilares, alors qu’ils sont censés aller à la mort, montre que tout cela n’est qu’une comédie pour eux. «