Pas de vacances pour le Premier ministre François Bayrou. En pleine torpeur estivale, il choisit d’ouvrir un nouveau canal de communication directe avec les Français. Un format inédit, un ton grave, et un message limpide : l’heure n’est plus aux demi-mesures, mais à une prise de conscience nationale.
Un podcast pour parler franchement
C’est à travers un podcast que François Bayrou entend « partager les contraintes » et appeler à la lucidité collective. Selon lui, le pays est au bord d’un tournant majeur, où « les efforts choisis » peuvent encore éviter « les sacrifices imposés ». La France, avertit-il, vit à crédit depuis un demi-siècle, et la dette, devenue incontrôlable, menace l’indépendance même de la nation.
« Chaque seconde, la dette française augmente de 5 000 euros. »
La France s’endette pour survivre
Bayrou insiste : le pays ne s’endette plus pour investir, mais pour faire face aux dépenses du quotidien. Une situation que les ménages surendettés connaissent déjà – et qui, à l’échelle de l’État, devient explosive. Le dernier budget réellement équilibré remonte à… 1974.
À ce rythme, prévient-il, le service de la dette atteindra 100 milliards d’euros par an dès 2029. Une spirale dangereuse, comparable à celle qui a forcé la Grèce ou l’Espagne à couper dans les retraites et les salaires publics.
Refuser l’effort, c’est accepter la violence des conséquences
Le chef du gouvernement ne ménage pas ses mots. Il appelle chaque citoyen à s’engager, à comprendre la gravité du moment, et à ne pas attendre d’être forcé par les marchés. Si des décisions courageuses ne sont pas prises maintenant, la France pourrait se retrouver sans prêteurs, contrainte à des coupes budgétaires brutales.
« C’est maintenant que tout se joue. Et c’est vous qui décidez. »
Pas de solution durable sans les Français
Ce podcast est aussi un acte politique en soi. Bayrou insiste : il ne veut pas imposer des choix par le haut, mais inviter au dialogue. « Les réformes doivent se faire avec les Français, jamais contre eux. » Et de conclure : « Nous sommes capables de surmonter cet obstacle. Mais nous devons l’affronter ensemble. »



C’est une vérité bien dite , comme des chiens bourbon , aboient quand la caravane passe , lol !
franchement c’est la faute aux socialistes et à François Mitterrand,payer les gens pour ne rien faire, et les élus qui en profitent pour mettre un peu dans la poche, maintenant le résultat est là, on va droit dans le fossé, le pire c’est qu’il va falloir changer le système si on veut redresser la barre, a commencé à diminuer le salaire de nos élus président ,ministre ,sénateur ,député ,Maire, arrêter de financer les guerres, couper tous les aides, les subventions, et le RSA. par contre je pense qu’il faut toujours aider les gens porteur d’handicap , les personnes âgées, les femmes battue, les SDF et les orphelins des gens qui sont vraiment dans le besoin, il faut aussi couper tout ce qui appelle , télévision, jeux Playstation, il faut faire voter une loi pour condamner tous nos dirigeants, et les élus ,qui ont gouverné le pays après le général de Gaulle, à une amende exemplaire.
Selon l’enquête annuelle sur les besoins en main-d’œuvre menée par France Travail – dont les résultats ont été publiés vendredi 11 avril – les intentions d’embauches enregistrent une diminution de 12,5 % en 2025, avec 2,43 millions de projets, soit 350 000 d’embauches en moins par rapport à 2024
Franchement, le Créole est paresseux. Il ne veut pas faire d’efforts ! On est à un moment crucial, comme le dit François Bayrou dans sa vidéo, mais ici, beaucoup restent passifs, comme si ça ne les concernait pas.
On dirait que tant que ça ne les touche pas directement, ils ne bougent pas. Pas envie de comprendre, pas envie de s’informer, encore moins de s’impliquer. Pourtant, si le Créole se réveillait vraiment, les choses pourraient changer.
Mais non, beaucoup préfèrent rester tranquilles, attendre que tout se règle tout seul. Le réveil est nécessaire, mais est-ce que quelqu’un va vraiment se lever pour sonner l’alarme ? Pas sûr… parce que le Créole, souvent, ne veut tout simplement pas faire d’efforts.