Depuis plusieurs mois, les services d’enquête observent une vague croissante d’escroqueries menées sous couvert de « faux conseillers bancaires ». Le mode opératoire est bien rodé : des victimes, persuadées de sécuriser leur argent, transfèrent leurs économies vers ce qu’elles croient être un compte de protection. En réalité, les sommes disparaissent aussitôt dans les rouages d’un circuit de blanchiment.
Pour dissimuler leurs traces, les fraudeurs recrutent des complices appelés « mules bancaires ». Ces dernières sont souvent attirées via les réseaux sociaux, où des annonces promettent des gains rapides et sans risque. Les personnes séduites doivent ouvrir un compte dans une banque en ligne, transmettre leurs identifiants aux escrocs, et laisser circuler des fonds issus d’arnaques. En échange, elles perçoivent une commission de quelques dizaines à quelques centaines d’euros.
L’illusion d’un revenu facile se transforme vite en cauchemar judiciaire. Comme les transferts transitent par un compte ouvert au nom de la mule, c’est elle qui apparaît en première ligne lors des investigations. Poursuites pour complicité d’escroquerie, inscription au casier judiciaire et conséquences financières font partie des risques encourus. Derrière la promesse d’un gain rapide se cache en réalité une participation active au dépouillement de familles et de personnes vulnérables.
Les autorités rappellent quelques règles simples : ne jamais répondre à des offres d’argent rapide diffusées sur Internet, ne pas ouvrir de compte bancaire pour un tiers et, en cas de doute, se rapprocher immédiatement de la gendarmerie. La vigilance reste le meilleur rempart contre ces manipulations, qui exploitent autant la crédulité que la précarité des personnes ciblées.



Internet té devrait pas être dan la main n’importe quel moun lambda. Qu’une question d’argent qui entre dan la caisse de leurs créateurs. Uniquement aux entreprises aux organismes sociaux etc pou une photocopieuse pareil. Ou lé pas une entreprise ou finance dan cet achat et bun l’encre que ou utilise ou pas faut acheter tout le temps parce y sec. Et quand ou la besoin un photocopie rarement ou dépense plus dan l’encre que le papier. Un boutique sinois dan temps avant et Internet na point ein pou tire l’autre. Ou trouve toute z’affaire dedans ! La différence c’est que le boutique la marchandise ou té tate. Magine un instant chez le commerçant ou vient ou trouve son portrait grandeur nature li cachiéte ek un micro li cause semb client. La tête que mon gros papa n’aurait fait ! Son boutique n’aurait plus eu pignon sur rue depuis belle lurette !