En Isère, les premiers goyaviers de la saison viennent de mûrir, et la surprise est de taille : les fruits sont particulièrement sucrés et abondants cette année. Patricia, passionnée de nature et installée dans la région, a réussi à acclimater cet arbuste originaire de l’océan Indien et se réjouit aujourd’hui d’une récolte exceptionnelle.
Les premiers fruits cueillis se distinguent par leur chair rouge sombre, juteuse et parfumée. « On a goûté les premiers goyaviers, ils sont très sucrés, bien meilleurs que ce que j’imaginais », confie Patricia. Les arbustes portent en effet une charge impressionnante de fruits, augurant de paniers bien remplis pour les semaines à venir.
Le goyavier : un fruit exotique aux multiples atouts
Originaire des hauts de La Réunion et de l’océan Indien, le goyavier est apprécié pour sa richesse en vitamine C, son pouvoir antioxydant et sa saveur unique, à la fois douce et acidulée. À La Réunion, il est traditionnellement consommé frais, transformé en confiture, en jus, en sirop, ou encore en pâtisserie. Le fruit est également utilisé pour élaborer des sorbets et des liqueurs artisanales.
Son arrivée en Isère témoigne d’une belle adaptation de la plante aux conditions locales, preuve qu’avec passion et patience, des cultures venues de loin peuvent s’épanouir dans des climats inattendus.
Une curiosité qui séduit de plus en plus
Si le goyavier reste encore peu connu en métropole, il séduit chaque année de nouveaux amateurs grâce à son goût incomparable et à ses usages variés en cuisine. La réussite de Patricia montre que ce petit fruit exotique pourrait bien trouver une place de choix dans les jardins de l’Hexagone.
Cette première récolte marque ainsi le début d’une belle saison gourmande pour les passionnés de saveurs tropicales, et un petit clin d’œil de l’océan Indien en plein cœur de l’Isère.



Le fruit est originaire du Brésil et non de la Réunion, importé vers 1790 à la Réunion.
Merci à Patricia d’avoir importé une espèce invasive en métropole. C’est déjà le cas à la Réunion qui a créé une filière bois de goyavier pour s’en débarrasser.
C’est vrai que comme ailleurs, il y a beaucoup de malgaches à Saint-Benoit, certains timidement malgaches, d’autres ouvertement malgaches, d’autres encore honteux d’avoir une origine malgache.
Dans une élection, chaque voix compte, les élections se gagnent avec plusieurs mois d’avance, c’est un potentiel électoral à ne pas négliger.
Après ses propositions trompeuses et irréalistes d’hier, aujourd’hui, il se sent, solidaires du malheur des malgaches.