Emmanuel Macron a franchi un cap historique lundi 22 septembre à la tribune des Nations unies en annonçant que « la France reconnaît aujourd’hui l’État de Palestine ». Une décision saluée comme « historique et courageuse » par l’Autorité palestinienne, qui y voit un soutien clair aux résolutions de l’ONU et au principe de la solution à deux États.
Au-delà de cette reconnaissance, le chef de l’État a proposé la mise en place d’une « administration de transition » à Gaza dès qu’un cessez-le-feu sera instauré. Cette structure, a-t-il précisé, associerait l’Autorité palestinienne et la jeunesse de Gaza, épaulées par des forces de sécurité locales dont la France et ses partenaires européens s’engagent à accélérer la formation et l’équipement. « Ces forces auront le monopole de la sécurité à Gaza et mèneront le démantèlement du Hamas », a-t-il insisté.
Le président français a rappelé à Israël son « obligation absolue de faciliter l’accès humanitaire » à une population « démunie de tout », tout en réaffirmant son « soutien plein » au peuple israélien. Il a reconnu la « réticence et la crainte » de l’État hébreu, soulignant que « rien ne sera possible sans que les autorités israéliennes s’approprient pleinement l’ambition de parvenir enfin à la solution des deux États ».
Le discours de Macron a été prononcé devant une assemblée où les sièges de la délégation israélienne étaient restés vides. Un symbole qui illustre la fracture diplomatique actuelle.
Par ailleurs, le président a conditionné l’ouverture d’une ambassade française en Palestine à deux préalables : la libération des 48 otages toujours détenus par le Hamas et l’instauration d’un cessez-le-feu. « Le droit doit l’emporter sur la force », a martelé Macron, qualifiant les attaques du 7 octobre 2023 de « blessure encore vive » pour Israël et réitérant son appel à « neutraliser » le Hamas sur le plan politique.
Pour le chef de l’État, cette reconnaissance n’est pas seulement un geste envers les Palestiniens : elle constitue aussi, selon lui, « la condition de la paix pour Israël ». En appelant à « mettre un terme définitif maintenant » à la guerre, Emmanuel Macron estime que le temps est venu de clore des décennies d’échec diplomatique.
ce grand humaniste de pacotille fait son cinéma alors qu’il a massacré sa propre population avec ses injections expérimentales…:
« SURMORTALITÉ & CHUTE DES NAISSANCES : LE DOUBLE TABOU EUROPÉEN
Ils ont dit : « Protégez-vous, vaccinez-vous ». Ils ont juré : « C’est sûr et efficace ». Résultat ? L’Europe s’enfonce dans une crise démographique sans précédent.
Des chiffres officiels qui crient l’alerte
– Eurostat annonce un effondrement historique des naissances : -5,4 % en 2023, taux de fécondité tombé à 1,38 enfant par femme. Jamais vu depuis 1960.
– En parallèle, les courbes de mortalité s’emballent depuis 2021. Excès de décès persistants, toutes tranches d’âge confondues, et personne n’ose poser la vraie question : pourquoi après les campagnes vaccinales massives et non avant ?
❌ Les explications officielles ? Des écrans de fumée
On nous parle de climat, de vagues de chaleur, de « stress post-Covid », de retards à l’hôpital… Mais soyons lucides :
En 2019 et 2020, avant la généralisation de la « piqûre miracle », il n’y avait pas de surmortalité chronique. Les hôpitaux n’étaient pas « submergés », malgré la panique médiatique orchestrée. Le vrai basculement commence fin 2021, exactement au moment où la couverture vaccinale atteint son pic.
Coïncidence ? Vraiment ?
Fertilité attaquée, vies raccourcies
Des millions de femmes témoignent de cycles bouleversés après injection. Des signaux sur la fertilité remontent dans les bases de pharmacovigilance. Dans le même temps, les courbes des naissances plongent. Et comme si cela ne suffisait pas : une surmortalité durable touche les populations actives, pas seulement les plus âgés.
Deux phénomènes convergents : moins de bébés, plus de morts.
Un ralentissement démographique inédit, parfaitement synchro avec la vaccination de masse.
Le scandale
On a vendu la piqûre comme un passeport pour la vie. Elle se révèle le cheval de Troie d’une société qui s’éteint. Et pendant que les familles comptent leurs morts et renoncent à des naissances, Big Pharma engrange des milliards.
Ce qu’il faut comprendre
La surmortalité est un indicateur implacable : elle mesure les morts en trop par rapport aux années normales.
Elle explose après la campagne vaccinale.
Les naissances s’effondrent dans la même période.
Un double signal impossible à ignorer. »