Ce samedi 5 juillet, une session illégale de graffitis dans les galeries techniques souterraines de La Défense a pris une tournure inattendue. Un groupe de graffeurs a découvert un squelette humain dissimulé dans une cavité des souterrains du quartier d’affaires, à proximité de la commune de Puteaux.
Selon les premiers éléments rapportés, les graffeurs évoluaient dans une zone peu accessible, utilisée parfois comme terrain d’expression clandestine. C’est dans l’un des tunnels qu’ils seraient tombés sur un crâne humain, partiellement recouvert de débris. Ils ont immédiatement alerté les forces de l’ordre.
Une enquête ouverte
Les policiers de la brigade criminelle, appuyés par des experts scientifiques, ont été dépêchés sur place. Le squelette a été extrait et des analyses sont en cours pour déterminer l’identité de la victime, les causes de la mort, et la date approximative du décès. Les lieux, relativement secs, auraient permis une conservation partielle des ossements.
Un lieu à l’accès restreint
Les sous-sols de La Défense sont constitués d’un réseau complexe de tunnels, souvent interdits au public mais accessibles à certains techniciens ou intrus. Ce n’est pas la première fois que des graffeurs s’y aventurent, attirés par les murs vierges et le sentiment d’isolement.


