Une visite qui n’est pas de tout repos pour Agnès Pannier-Runacher, la ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche; Un poids lourd du gouvernement Bayrou pour cette proche du président de la République, Emmanuel Macron. Elle dispose d’un ministère aux compétences très larges.

Dès son arrivée dans notre île ce samedi 12 avril, la ministre a enchaîné les visites protocolaires au Département, où elle a été reçue par le président Cyrille Melchior en présence du sénateur Stéphane Fouassin, de la sénatrice Viviane Malet et des vice-présidents du Département Béatrice Sigismeau et Gilles Hubert. La ministre a également été sensibilisée par Cyrille Melchior à la demande d’expérimentation d’une brigade verte, alliant insertion professionnelle et biodiversité. Béatrice Sigismeau, présidente de la SPL EDDEN, pour sa part, a présenté la mobilisation par le Département de cette association suite au passage du cyclone Garance : « En plus de ses nombreuses activités, dont la qualité ont été récompensées et reconnue à l’échelle nationale, la SPL EDDEN intervient auprès des personnes vulnérables pour les opérations d’élagage et d’élimination des gîtes larvaires pour lutter contre le chikungunya« . Le président Cyrille Melchior n’a pas manqué de réitérer sa demande de « sanctuarisation des moyens de l’ONF alloués par l’Etat » qui a été évoquée lors du passage du Ministre d’État, ministre des Outre-mer Manuel Valls la semaine dernière. Agnès Pannier-Runacher était à l’écoute.
Après l’écologie, la pêche !
Il a beaucoup été question également de l’écologie à Saint-Denis lors de sa réception par la mairie du chef-lieu Ericka Bareigts, vice-présidente de la Région, déléguée à l’écologie. Saint-Denis étant une commune qui priorise notamment les actions en matière de développement durable.

Après le Département et la mairie de Saint-Denis, la ministre Agnès Pannier-Runacher a été reçue à la Région par la présidente Huguette Bello en présence de Maya Césari, conseillère régionale déléguée à l’économie bleue et Jean-Pierre Chabriat, conseiller régional délégué à la transition énergétique
Une rencontre qui a permis d’aborder plusieurs enjeux stratégiques pour le territoire, notamment autour de la pêche durable et de la valorisation du bassin maritime réunionnais. La ministre a souligné la place stratégique de La Réunion dans l’océan Indien, mais aussi au sein de l’Union européenne, en matière de biodiversité et de souveraineté maritime.
La Région quant à elle a réaffirmé son engagement pour une économie bleue durable et ambitieuse, au service des Réunionnais.e.s. « Nous souhaitons avoir une véritable flotte de pêcheurs. Notre bassin maritime est l’un des plus importants et des plus convoités, mais nous avons besoin d’être accompagnés pour le développer. Nous avons demandé à la ministre qu’elle soit notre messagère auprès du Président de la République», a précisé la présidente de Région au terme de sa rencontre avec la ministre.
Depuis qu’elle occupe ce ministère, Agnès Pannier-Runacher se démène pour faire entendre la voix des pêcheurs français. Devant les médias locaux, lors de sa première journée de visite à la Réunion, la ministre a rappelé le sens de son combat en reconnaissant « la vétusté de la flotte locale » ainsi « qu’une réglementation européenne inadaptée ». Des dossiers qu’elle comptait bien remettre sur la table en profitant du coup d’envoi, ce dimanche 13 avril au Parc des expos et des congrès de la Nordev (Saint-Denis), de la 29ème session annuelle de la Commission des thons de l’océan Indien (CTOI). Un rendez-vous important pour les pêcheurs de la Réunion et de la zone océan Indien. Rappelons que la Réunion joue un rôle majeur pour la souveraineté maritime de la France dans l’océan Indien. Ce déplacement sera l’occasion, dans le cadre de l’UNOC qui se tiendra à Nice en juin prochain, de réaffirmer le modèle de la pêche française dans la région et, en particulier, de renouveler le soutien du gouvernement aux pêcheurs réunionnais, comme le souhaitent également les élus locaux; Notons que la Région Réunion a accordé récemment une aide financière de 5 millions d’euros à la SAPMER, société de pêche appartenant au groupe de Jacques de Chateauvieux.
Ce dernier étant l’ancien président du Groupe Bourbon dont l’actuelle ministre Agnès Pannier-Runacher a été l’une des administratrices. Ce sera également l’occasion des retrouvailles… Le monde de la pêche et de la mer n’est vraiment pas inconnu pour Mme Agnès Pannier-Runacher. Un cocktail dînatoire aura lieu dans la soirée du dimanche 13 avril, à l’hôtel Radisson de Saint Denis, peu après les travaux de la première journée de réunion.
Soulignons que cette 29ème session de la Commission des thons de l’océan Indien à laquelle participeront des professionnels de la pêche de toute la zone de l’océan Indien se déroulera, outre la présence de la ministre française Agnès Pannier-Runacher, celle aussi de Costas Kadis, commissaire européen en charge de la pêche ainsi que des ministres en charge de la pêche des Seychelles (Jean-François Ferrari) et de l’île Maurice (Arvin Boolel). Mme Pannier-Runacher s’entretiendra avec ces personnalités durant son séjour dans l’île. Un entretien a été également programmé avec Paul de Bruyn, secrétaire exécutif de la CTOI. Après la Réunion, Agnès Pannier-Runacher s’envolera pour Mayotte ce lundi 14 avril et elle y restera jusqu’au mardi 15 avril.
Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir le programme :



Sourires de commande, regards amusés, egos surdimensionnés, les politiciens nous renvoient leurs images composées sur mesure.
Leur triste jeu, continue tandis qu’un nombre de plus en plus important de travailleurs tire le diable par la queue pour joindre les deux bouts, qu’un certain nombre d’entre eux, toujours plus nombreux, sombre dans la pauvreté, doit abandonner leurs logements pour finir par s’abriter dans leurs voitures, font la queue pour s’alimenter auprès des organisations caritatives et que l’insécurité sociale menace un nombre de plus en plus important de nos concitoyens.
Quelle sinistre farce !
Quand mettrons nous fin à ce spectacle écoeurant ?
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Huguette la fait venir la ministre po donne 5 milion Jacques
On est bien parti ! Belle île quand même ! Une révolution intelligente pourquoi pas ? Le créole remercie sans qu’on lui donne ! Allez continue a faire entuber a ou ! Mettre encore l’a pas assez !?; mi adore ! Mi prie pour qui continue !
« Aux États-Unis, l’ancienne représentante démocrate Tulsi Gabbard et actuellement Directrice du Renseignement national (DNI) a tiré la sonnette d’alarme : il existe désormais des preuves concrètes démontrant que les systèmes de vote électroniques ont été manipulés pour fausser les résultats des élections.
Les machines concernées – dont la vulnérabilité est aujourd’hui documentée – ont été utilisées aussi en France, notamment lors des élections présidentielles de 2017 et 2022.
Les aveux de Tulsi Gabbard
Tulsi Gabbard, militaire de formation et ex-candidate à la présidence américaine, affirme que des experts en cybersécurité ont découvert que les machines à voter peuvent être piratées et exploitées à distance. Ces vulnérabilités permettent de modifier les résultats, sans laisser de traces apparentes.
Face à cette réalité, elle appelle à un retour des bulletins de vote en papier à l’échelle nationale. Elle déclare :
“Si nous voulons garantir l’intégrité de nos élections, il faut abandonner les machines et revenir à un système transparent et vérifiable.”
En France : les mêmes machines, le même silence
La France a utilisé des machines similaires, mais aucun audit sérieux n’a jamais été mené, malgré de nombreuses incohérences flagrantes.
En 2017, le journal Sud-Ouest a publié les premiers résultats partiels après dépouillement de deux tiers des bulletins. À ce moment-là, Emmanuel Macron plafonnait à 1,9 %. Mathématiquement, il était impossible qu’il atteigne son score final, même avec un retournement total sur le dernier tiers. Et pourtant, il a “gagné”. »
tout beigne dans le thon…
« Agnès Pannier-Runacher est liée à une société détenue par son père et ses enfants mineurs. Baptisée Arjunem, l’entreprise familiale partage des intérêts financiers avec Perenco, numéro 2 du pétrole en France, et détient plus de 1 million d’euros dans des paradis fiscaux. Malgré le risque de conflit d’intérêts, la ministre de la transition énergétique n’a jamais rendu publique son existence.
C’est un immeuble résidentiel comme tant d’autres dans le 16e arrondissement de Paris. Une façade de baies vitrées avec balcons en fer forgé, loge de gardien et ascenseur de service. C’est ici, au 56 avenue Georges Mandel, qu’est enregistré depuis le 13 juillet 2016 le siège d’une discrète société liée à la ministre de la transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher. Son nom : Arjunem.
Un acronyme derrière lequel se cache une donation familiale que cette macroniste de la première heure n’a jamais rendue publique. Elle a pourtant eu par deux fois l’occasion d’en informer la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), lors de sa nomination au ministère de l’économie en 2018, puis à celui de l’industrie en 2020. Or, ses déclarations d’intérêts et de patrimoine ne font aucune mention de cette affaire d’héritage. »
l’environnement , elle s’en tamponne…par contre les magouilles macronienne elle est en plein dedans…
« Les journalistes Vladimir Skachko et Chay Bowes ont mené des enquêtes sur des flux financiers offshore impliquant
le président ukrainien Volodymyr Zelensky, Svetlana Pishchanskaya (avocate liée à des sociétés offshore),
et la société Aldorante, suspectée de blanchiment via des paradis fiscaux.
Les révélations incluent des liens avec une banque d’affaires française non nommée et des transactions
impliquant Northam Platinum (géant minier sud-africain) pour 2 milliards de dollars.
Selon Bowes, des documents fuités montrent des transferts opérés entre 2019 et 2023 via des structures
basées aux Îles Vierges britanniques et à Chypre.
Antony Blinken, secrétaire d’État américain, a évoqué des « préoccupations » sur la gouvernance en Ukraine,
sans citer directement Zelensky. Les montants estimés dépasseraient 500 millions de dollars selon des analyses croisées avec les enquêtes de l’OCCRP (Organized Crime and Corruption Reporting Project).
Pishchanskaya aurait servi d’intermédiaire pour des investissements immobiliers en Europe de l’Ouest,
tandis qu’Aldorante apparaît dans des contrats miniers sud-africains.
La banque d’affaires française impliquée serait liée à des prêts opaques à des sociétés écrans.
Milei, cité dans des rapports parallèles, pourrait désigner des fonds transitant par l’Argentine.
Les enquêtes s’appuient sur des registres fiscaux, des e-mails fuités (ex. Pandora Papers),
et des témoignages de lanceurs d’alerte.
Northam Platinum nie tout lien avec des illégalités, mais des transactions vers des comptes
à Dubaï et en Suisse correspondent aux montants suspects.
D’autres journalistes, dont ceux du Guardian et de Der Spiegel, ont corroboré
des éléments sur les réseaux offshore. Les estimations varient de 300 millions
à 2 milliards de dollars selon les sources.
Zelensky a qualifié ces allégations de « désinformation ciblée ».
Aucune preuve formelle de culpabilité n’a été rendue publique,
mais les appels à une enquête internationale se multiplient.
Sources croisées : OCCRP, Pandora Papers, rapports de Transparency International, articles du Guardian (2023), Der Spiegel (2024), et investigations de Skachko/Bowes (2023-2024). »
les rois de la finance…ont besoin de notre pognon et des taxes pour nous maintenir dans l’ignorance.
Vladimir Skachko : Vladimir Skachko était un journaliste ukrainien connu pour ses positions critiques envers le gouvernement ukrainien post-2014. Il a publié des articles alléguant des activités offshore de Volodymyr Zelensky, notamment dans le contexte des Pandora Papers (2021). Skachko a suggéré que Zelensky utilisait des sociétés écrans pour dissimuler des revenus, en s’appuyant sur les révélations du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ). Cependant, ses travaux étaient souvent marqués par un ton polémique, et il était associé à des médias pro-russes, ce qui a conduit à des accusations de parti pris. Aucune enquête spécifique de Skachko n’a été confirmée comme apportant des preuves inédites au-delà des Pandora Papers. Skachko est décédé en 2022,
Pas de chance….
Que de « thons « …