Au 12ᵉ, au Tampon, les habitants du quartier du terrain de football sont sous le choc. Depuis plusieurs jours, un chien de type husky erre dans la zone et s’en prend aux animaux de basse-cour. Selon plusieurs témoignages, l’animal aurait déjà tué plus d’une quinzaine de volailles – poules, coqs et poussins.
Les riverains décrivent une situation qui s’aggrave soir après soir. Le chien reviendrait régulièrement, semant la panique et laissant derrière lui des animaux morts ou grièvement blessés.
« Chaque soir, il est là. On retrouve nos poules tuées. Nous sommes fatigués de vivre ça », confie un habitant, photos à l’appui.
Si la perte des volailles représente un préjudice direct pour les familles concernées, c’est surtout l’inquiétude qui domine. Les habitants redoutent désormais que le husky ne s’en prenne à d’autres animaux domestiques, voire aux enfants du quartier.
« Nous aimons les animaux, mais chacun doit assumer ses responsabilités. Ici, au Tampon, on ne peut pas laisser un chien errer et tuer comme ça », déplore un autre riverain.
Les familles appellent la police municipale et la fourrière à intervenir rapidement afin d’identifier le propriétaire du chien et mettre fin à ces incidents. Elles demandent également que des mesures soient prises pour éviter que ce genre de situation ne se reproduise.
En France, un chien trouvé en état de divagation peut être capturé et conduit en fourrière. La loi considère qu’un chien est en divagation lorsqu’il se trouve hors de portée de la voix ou de tout instrument sonore permettant son rappel, ou s’il est éloigné de son propriétaire de plus de 100 mètres.
Selon l’article L211-23 du Code rural, le propriétaire est pénalement et civilement responsable des dommages causés par son animal, qu’il soit sous sa garde ou en liberté.
En cas d’attaque sur des animaux d’élevage ou de basse-cour, la victime peut demander réparation intégrale du préjudice subi (remboursement des pertes, dommages et intérêts).



C’est pas important pour le coût de la vie , c’est le toutou qui prime