Bois d’Olives : Une chaîne de solidarité distribue 450 repas dans un quartier défavorisé

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Hier, dans le quartier populaire de Bois d’Olives à Saint-Pierre, une opération de solidarité d’une ampleur remarquable a permis la distribution de 450 repas chauds à des familles dans le besoin. Au menu : cari bichiques, civet poulet et sauté mines, préparés avec générosité et cœur. Parmi ces repas, 25 ont été livrés directement aux personnes âgées de la résidence Tournesol, également située à Saint-Pierre.

À cette action s’est ajoutée la distribution de 200 colis alimentaires, accompagnés de fruits frais et de gâteaux. Un geste qui rappelle combien la solidarité locale peut apporter un soulagement concret et immédiat à ceux qui vivent dans la précarité.

 

L’initiative n’aurait pas été possible sans l’implication de nombreux bénévoles et donateurs. En première ligne, la famille Bassounaick, Aldo et Marie-Andrée, a offert 150 repas. D’autres soutiens de longue date ont également répondu présents : Jean-Luc Naick et Top Fraîcheur CH Bœuf, qui offrent les légumes chaque mois, ou encore des bénévoles dévoués comme Françoise et Danio Miton, la famille Absalon Herland, Ti Lou, Doris, Gilberte Ponty Mangata, la famille Idriss Biquena et Sonia, la famille Rivière Coulouk et Miquelaine Fos, la petite Adelia, Rachelle Rivière ép. Oulama, Jean-René Rivière, Stéphane Albora, la famille Vadivelou Duba, avec Jessy, Alcine, Christian, Selmay, Carine, Nadine et Jean-Yves Vadivelou.

L’opération ne s’arrête pas aux plats principaux. Isabelle Ranggeh a offert des mandarines, Erika Moutama et Nicolas Pragarsam Veletchy ont fourni des pommes, Jean-Roger Paidaman et Céliane ont apporté 350 gâteaux, tandis que Cyrielle Kbd a préparé des douceurs maison, spécialement destinées aux aînés.

Un « Big up » particulier à Richard Mangata, mentionné avec gratitude par les organisateurs, ainsi qu’à Chantale Sinapayen, Julie et Daniel Mangata, pour leur soutien régulier.

Cette mobilisation citoyenne est le reflet d’une communauté soudée, où la solidarité se construit mois après mois, avec de nouveaux participants, de nouveaux dons et une énergie collective qui ne faiblit pas. À Bois d’Olives, l’entraide n’est pas un mot creux : c’est une réalité vécue, organisée et partagée.

2 Commentaires

  1. Si nos patrons de grande surface puissent suivre ! Malheureusement si t’a faim tu payes ,, ! Et en prime avec le ticket gratos de 2 euros pour un prochain achat a 80 € ! Cela veut dire qu’à la prochaine visite je paye le pas de porte d’entrée pour deux euros offerts ! Lol ! Jusqu’à quand vous allez profitez ? La honte ne vous tue pas ?

    • Les plus démunis faut qu’ils apportent leurs gamelles voilà où nous en sommes sur notre petit bout de cailloux. Si on fait le rapprochement de notre vie d’avant et actuellement beaucoup d’entre nous crevaient la dalle parce que si nous avions pu faire cette chaîne alimentaire aucun d’entre nous ne seraient allés dans la Creuse ! Un paradoxe car nous étions moins nombreux en 1960. Une île de moins de huit cent mille habitants. Y avait plus de terre pour planter. Du béton qui pousse comme des champignons. Ça fait l’affaire de quelques uns mais pas pour ceux dont l’ estomac continue à gargouiller.

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