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Bois de Nèfles Sainte-Clotilde : 80 couvertures pour réchauffer les cœurs (Photos)

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Sous l’effet d’un hiver austral particulièrement rigoureux, la commune de Saint-Denis et son Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) s’associent à l’association UNIR Océan Indien pour apporter un peu de réconfort aux habitants des hauts quartiers, éprouvés par le froid et les séquelles du cyclone Garance. Au total, 400 couvertures seront distribuées à travers les zones concernées.

Ce mercredi 23 juillet, c’est à la Mairie annexe de Bois de Nèfles Sainte-Clotilde que s’est tenue une nouvelle étape de cette mobilisation : 80 couvertures ont été distribuées aux habitants les plus vulnérables, confrontés au froid intense et aux conséquences du cyclone Garance..

 Des gestes simples, porteurs de dignité

Sur le terrain, les équipes du CCAS et les bénévoles de UNIR-OI agissent avec efficacité et bienveillance. Pour les habitants, chaque couverture distribuée est bien plus qu’un objet : c’est une marque de considération.

« Ce sont parfois des gestes simples, comme une couverture, qui permettent de redonner un peu de chaleur et de dignité », confie Mohammad Bhagatte, Directeur général de UNIR-OI.

 Une mobilisation politique sans détour

La Maire de Saint-Denis, Ericka Bareigts, affirme une volonté claire :

« Face à un épisode de froid exceptionnel, il est de notre devoir de ne laisser personne au bord du chemin ».

Son engagement est partagé par le Président délégué du CCAS, David Belda, qui rappelle la portée sociale de l’initiative :

« Cette distribution est une main tendue à nos concitoyens les plus fragiles, dont certains ont été marqués par les événements climatiques récents  ».

Une solidarité concrète qui relie les gens

À Bois de Nèfles, cette action n’est pas seulement humanitaire ; elle crée du lien, elle reconnecte les citoyens autour d’un principe simple mais fondamental : la solidarité n’a pas besoin de chiffres pour être efficace, seulement de chaleur humaine. Ce mercredi, entre les mains tendues et les sourires partagés, c’est tout un quartier qui a prouvé qu’un tissu peut aussi réparer des déchirures invisibles.

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