Dans son édition de ce samedi, JIR Hebdo s’intéresse à « la montée du RN à La Réunion : La révolution silencieuse ? ».
Côté santé, place au doute autour du vaccin IXCHIQ contre le chikungunya et aux espoirs que suscite l’intelligence artificielle pour mieux accompagner l’autisme.
À La Réunion, l’élection de la CIVIS est au cœur des débats. Le billet d’humeur du moment, mordant, revient sur le chikungunya et ses conséquences.
JIR Hebdo, c’est aussi du cinéma avec le film engagé Fanon, un hommage aux marchés forains de l’île, et vos jeux pour finir la lecture en toute légèreté.
Tout cela à découvrir dans le numéro de cette semaine, en kiosque dès aujourd’hui.



bonjour à toutes l’équipe je vous suis depuis Aix en Provence le bonjour à la réunion mon île que j’aime beaucoup Bon dimanche et bonne écoute ici et d’ailleurs
Avec le RN il n’y aura jamais de révolution ce qui nécessiterait pour ce parti de virer complètement de bord.
Or le RN est entièrement acquis aux intérêts du patronat (« national » – MDR ! alors que le capital étend son influence au monde entier – exemple les capitalistes français de Total , de LVMH ou de CMA-CGM qui ont des intérêts partout dans le monde).
Le RN est un parti réactionnaire qui prétend ramener l’économie dans les frontières nationales alors qu’elle s’est internationalisé depuis des siècles et qu’aucune économie nationale ne peut survivre sans entretenir des relations avec les économies des autres pays.
Mais au nom du « patriotisme économique » (si cher aussi à certain(e)s à gauche à La Réunion…), le RN au pouvoir exigerait des travailleurs qu’ils fassent une croix sur leurs droits pour défendre les entreprises françaises contre leurs concurrents étranges.
Le soutien sans réserve du député RN Lucien Odoul a la proposition de la ministre du Travail Catherine Vautrin de cesser de considérer le Premier Mai comme une journées chômée en apporte la preuve irréfutable, ajoutant pour plus de clarté : « Le Premier Mai : c’est la fête du Travail, pas de l’oisiveté, ce n’est pas la fête de l’assistance ! ». On ne peut faire plus méprisant vis à vis de ceux qui font fonctionner toute l’année l’économie grâce à leur travail.
Alors l’avenir de la classe ouvrière n’est pas de se ranger derrière ses pires ennemis, elle est de se battre contre le système capitaliste qui les écrase et contre toutes celles et tous ceux qui justifient son existence !