Ce vendredi matin, sur le site de Chemin Raphia à Saint-Paul, l’opération « Plan 1 million d’arbres pour La Réunion » a rassemblé jeunes et seniors autour d’un même objectif : replanter, protéger et transmettre.
Au total, 1 300 plants endémiques et indigènes ont été mis en terre, avec le soutien du Département et des associations partenaires.
Vidéos-Photos Raphaël Gauvin.
Une participation active des jeunes
Dès les premières heures, les jeunes mobilisés n’ont pas seulement planté. Ils ont aussi aidé la Direction Technique à décharger les végétaux et à répartir les plants sur le terrain.
Une dimension pédagogique était également au rendez-vous : les jeunes ont reçu des explications sur le nom et les caractéristiques des espèces mises en terre, en lien avec un futur projet collectif à l’académie.
« Allier insertion et environnement »
Pour le président du Conseil départemental, Cyrille Melchior, cette action revêt une double importance :
Préparés pendant plusieurs semaines par l’Académie des Dalons, les services du Département et les associations, ces jeunes ont bénéficié de séances de formation avant de passer à l’action.
« Au-delà de la plantation, il y a un accompagnement, des immersions en entreprise et parfois des opportunités d’emploi. Ces jeunes prennent conscience qu’ils ont le pouvoir de construire leur projet de vie », a ajouté le président.
La protection des espèces endémiques, un enjeu identitaire
Parmi les personnes conviées, Laetitia témoigne de son enthousiasme :
Un message fort : protéger la biodiversité réunionnaise, c’est aussi préserver l’équilibre des écosystèmes et l’avenir des générations.
La nature qui revit
Tous les intervenants ont rappelé l’urgence de réparer ce que les aléas climatiques, comme le dernier cyclone, ont pu abîmer. Replanter, c’est redonner vie à la nature, embellir le cadre de vie et offrir une expérience formatrice et valorisante pour les jeunes.
Une matinée placée sous le signe de l’action concrète, de la transmission et de l’espoir.









Prépare les élections ? Il faut pas qu’il veut exproprier des familles à l’éperon pour réaliser une route déviation .